Destination Béziers, la splendeur retrouvée

En quelques années, la sous-préfecture de l’Hérault a retrouvé son lustre d’antan, quand la culture de la vigne avait fait d’elle la cité la plus fortunée du sud de la France. Labellisée depuis peu Ville d’art et d’histoire, la belle Occitane mérite une (re)découverte attentionnée.

Qu’importe si Montpellier lui a damé le pion comme cité-phare du département. Si Sète joue les stars dans les séries télé. Béziers voit sa cote d’amour grimper. Naguère encore point sur la ligne du TGV Paris-Barcelone, celle qui se targue d’être la plus vieille ville de France, 2700 ans d’histoire, redevient une étape choisie. Comme au temps où le beau monde, riches vignerons et négociants en vin, s’y bousculait. En cinq ans à peine, la sous-préfecture de l’Hérault s’est refait une beauté à grands coups de ravalements et rénovations.

Voyage et Prêt à partir

Sa dernière métamorphose datait du milieu du XIXe siècle. En pleine prospérité viticole, la cité médiévale et Renaissance avait pulvérisé ses fortifications pour gagner du terrain. Depuis il y a, si l’on peut dire, deux villes en une, l’ancienne dominée par la cathédrale Saint-Nazaire, fourmillant de ruelles pentues et d’hôtels particuliers. Et la « nouvelle », toute d’immeubles haussmanniens ultra-pimpants, débarbouillés de la noirceur passée, leurs balcons de fer forgé repeints dans des tons délicats, verts, bleu, rose…

Les immeubles haussmanniens ultra-pimpants de Béziers Karine Grégoire

Les allées Paul-Riquet en sont le plus bel exemple. Aménagés à la place des anciens remparts, ces Champs-Élysées biterrois marquent la frontière entre les deux époques architecturales. Ces allées ombrées de platanes portent le nom d’un célèbre enfant du pays : Pierre-Paul (de son prénom entier) Riquet, fermier général des gabelles et entrepreneur. Le canal du Midi, creusé au XVIIe siècle entre Sète et Toulouse, fut sa géniale idée. À Béziers, ces eaux douces s’agrémentent en outre de deux ouvrages d’art : les neuf écluses de Fonseranes et le Pont-Canal.

Quelques jours ne suffisent pas pour explorer la ville, arpenter ses avenues, se perdre dans ses petites rues, visiter sites et monuments, la cathédrale, l’église Saint-Madeleine (et le marché bio à ses pieds le samedi matin), l’amphithéâtre romain, flâner au bord du canal. Et encore, il manque les musées, fermés avant même la crise sanitaire, pour récolement de toutes les collections. Lesquelles devraient à terme être regroupées dans l’ancien palais de justice, ex-palais épiscopal.

Labellisée « Vignobles et découverte », la destination Béziers-Méditerranée (la ville et 16 communes alentour) compte également quelque 150 châteaux, dont quelques-uns reçoivent des visiteurs. L’œnotourisme est encore en voie de développement. Mais qui dit Méditerranée pense plages. À une douzaine de kilomètres seulement, Valras et Sérignan déroulent leurs étendues de sable chaud. Sous le soleil du Midi, exactement.

La vue à instagrammer : l’acropole

La vieille ville juchée sur son promontoire, la cathédrale Saint-Nazaire et l’Orb qu’enjambe le Pont-Vieux, voici la carte postale biterroise par excellence. Annie Barbaccia / Le Figaro

La vieille ville juchée sur son promontoire et l’Orb qui coule à ses pieds, voilà la carte postale biterroise par excellence. Pour réussir la photo, il faut se poster dans le jardin Emile Aïn, quartier du faubourg, à l’heure où le dernier soleil bronze les eaux vertes du petit fleuve côtier et dore à qui mieux mieux la pierre blonde des monuments de l’«acropole» : la cathédrale gothique Saint-Nazaire et Saint-Celse, son point culminant, le Palais des Évêques néoclassique et sa tour wisigothique, l’ancienne prison et les vestiges des remparts romains et médiévaux… Au premier plan, le Pont-Vieux fut longtemps, jusqu’à l’arrivée du chemin de fer et la construction d’un pont dédié, l’unique accès à la cité. Fermé aux voitures depuis 2019, il est désormais réservé aux piétons, aux cyclistes et autres « trottinétistes ».

Le circuit obligé : découverte en trompe-l’œil

L’histoire de Béziers racontée en fresques murales sur les façades, voilà le bon plan pour découvrir la ville. Annie Barbaccia / Le Figaro

L’histoire de Béziers racontée en fresques murales sur les façades, voilà le bon plan pour découvrir la ville. D’autant que ces fresques dédiées chacune à un personnage sont des trompe-l’œil plus vrais que nature. Commencée en 2016, la collection vient de s’agrandir d’une 17e peinture. Sur chaque bâtiment concerné, un panneau explique la scène représentée. Cette légende des siècles va du XIIIe au XXe et dure près de 4 km (circuit à télécharger sur le site de l’office de tourisme).

À l’angle des allées Paul-Riquet et de la rue Boïeldieu, on apprend ainsi que L’Arlésienne fut inspirée à Alphonse Daudet par ce fait divers biterrois : dans cet immeuble vivait Marie Cauffopé (représentée au balcon), promise, mais infidèle, à François Mistral qui, du coup se suicida. Et c’est par l’oncle du jeune homme, le poète Frédéric Mistral, que l’auteur des Lettres de mon moulin apprit le drame qu’il transposa en Provence.

Autre exemple, Jean Moulin, le plus célèbre Biterrois. Place Lavabre, le héros de la Résistance apparaît à la fenêtre du premier étage. Au rez-de-chaussée, est reproduite la galerie d’art qu’il avait ouverte à Nice en 1942, sa couverture de marchand de tableaux pour circuler de la zone libre à la zone occupée.

La visite spectaculaire : les écluses de Fonseranes

Sur le canal du Midi, les 9 écluses de Fonseranes forment un savant dégradé de bassins de 10 m à 37 m de long. Karine Grégoire

Paul Riquet les appelait « l’escalier de Neptune ». Sur le canal du Midi, les 9 écluses de Fonseranes forment en effet un savant dégradé de bassins de 10 m à 37 m de long. Inscrit au Patrimoine mondial par l’Unesco, le site a été superbement rénové il a quelques années (deux ans de travaux). Les voitures sont désormais reléguées sur un vaste parking arboré et excentré. Et c’est à pied, par un sentier botanique, que l’on arrive sur place. Ouvert à l’année, c’est surtout de mars à novembre que le lieu crée l’attraction. L’hiver en effet, la navigation s’interrompt pendant l’entretien du canal et des écluses par les Voies navigables de France. La maison du Coche d’eau, autrefois lieu d’embarquement des voyageurs, est devenue un restaurant panoramique, « Le 9 », assorti d’une boutique et d’une petite salle de cinéma immersif. L’histoire du canal y est contée sur l’écran, les murs et le sol, 3 € la séance (formidable) de 14 minutes.

Cette visite est à compléter par deux autres sites : le Port-Neuf et le Pont-Canal. Sacré ouvrage que ce dernier, réalisé dès 1858 afin d’éviter aux péniches les dangereux caprices de l’Orb qu’il fallait auparavant traverser. Le pont enjambe le fleuve ainsi franchi nonchalamment par les bateaux, de nos jours des embarcations de loisirs exclusivement.

Quant au petit port fluvial, c’est une bulle de calme, juste derrière la gare. D’un côté, des villas et des péniches d’habitation ancrées à leur pied. De l’autre, quai du Port-Neuf, le départ des croisières-promenades et les anciens entrepôts de marchandises reconvertis en sièges de sociétés. Halte obligée au Café de Plaisance, tenu par la même famille depuis six générations. Nappes à carreaux, banquettes de moleskine, cuisine simple et classique, terrasse sous les platanes… Et un charme délicieusement suranné.

Le rendez-vous insolite : l’atelier du noteur

Pierre Charial est noteur, il réalise les supports de carton ou papiers perforés qui font jouer des instruments automatiques. Annie Barbaccia

Le métier de noteur consiste à réaliser les supports de carton ou papiers perforés qui font jouer des instruments automatiques, autrement dit des orgues de barbarie et des boîtes à musique. « La boîte à musique », c’est justement le nom de l’atelier de Pierre Charial, l’un des derniers noteurs de France. Nichée dans une petite rue, derrière les halles centrales, cette échoppe a tout d’une caverne d’Ali Baba avec ses orgues de barbarie rutilantes et ses murs de rayonnages garnis de partitions à petits trous, pliées en accordéon (encore de la musique). Le catalogue de cette étrange bibliothèque recèle 1.500 titres.

Le maître de céans explique bien volontiers, démonstration sonore à l’appui, son art et sa passion sous les yeux mordorés de Grapule – « c’était l’année des « G »-, le chartreux gris, et le regard curieux des badauds aimantés par la ritournelle qui s’échappe de la boutique à la porte grande ouverte. Mais c’est uniquement sur rendez-vous qu’on en franchit le pas. Sauf obole, la visite est gratuite.

La boîte à musique, 7, rue du Soleil. Tél. : 06 84 28 59 81.

Le déjeuner original : aux halles centrales

Place Sémard, dans la ville médiévale, un pavillon de style Baltard abrite depuis 1897 les Halles de Béziers. Annie Barbaccia

Place Sémard, dans la ville médiévale, un pavillon de style Baltard abrite depuis 1897 les Halles de Béziers. Fief de 25 commerces, ce marché central est ouvert du mardi au dimanche, de 7 heures à 14 heures. Mais une fois les courses faites, on peut aussi faire cuire, et dévorer sur place, le poisson ou la viande qu’on vient d’acheter. Ce service (2, 50 € la cuisson) est proposé par la Gargote des halles, tenue par Sébastien qui prépare aussi, à la demande, ses frites-maison et/ou une salade (3, 50 €) en guise d’accompagnement.

L’adresse emblématique : l’hôtel Imperator

Édifié en 1870 entre la place Jean-Jaurès et du théâtre, l’Imperator est le plus vieil hôtel de la ville. Annie Barbaccia

En pole position sur les allées Paul-Riquet, entre la place Jean-Jaurès et du théâtre, l’Imperator est le plus vieil hôtel de la ville. Édifié en 1870, cet immeuble haussmannien vient de s’offrir une nouvelle jeunesse, façade ravalée et cœur entièrement repensé dans un style résolument épuré. À chaque étage sa couleur leitmotiv – jaune d’or, marron et kaki, bleu – dans les couloirs et les 42 chambres, côté face (balcons au premier) et côté pile, dont la junior suite. Ni restaurant, ni Spa – c’est un 3-étoiles – et une salle de petit déjeuner un brin tristounette (toute blanche et sans fenêtres) mais dès que le soleil chauffe, on s’attable dans la cour intérieure où les voitures n’ont plus le droit de stationner. En revanche, il y a un garage à vélos. Chambre double à partir de 199 € pour deux nuits avec les petits déjeuners.

L’Imperator, 28, allées Paul-Ricquet, 34500 Béziers. Tél. : 04 67 49 02 25.

Source : https://www.lefigaro.fr/voyages/destination-beziers-la-splendeur-retrouvee-20210507

Vacances : ce que veulent (vraiment) les Français pour cet été !

C’est peu dire que les Français ont envie de prendre le large, cet été ! Ils seront 7 sur 10 à partir en vacances durant la période estivale et 5 sur 10 à mettre le cap sur le littoral.

 

7 Français sur 10 ont prévu de partir en vacances, cet été

Après plus d’une année de crise sanitaire, jalonnée de confinements et de reconfinements, les Français ont bien mérité de prendre des vacances. Celles-ci seront l’occasion pour eux de s’évader, de s’oxygéner et de recharger leurs batteries. Une étude Amivac nous apprend, en effet, qu’en 2021, une large majorité (71 %) de Français a prévu de partir en vacances cet été. 76% d’entre nous resteront en France cet été.

Des Français plus chauvins que jamais !

Compte tenu du contexte sanitaire, la France constitue la destination privilégiée des Français pour leurs vacances d’été. Selon l’étude Amivac, ce sont ainsi 76 % d’entre nous qui passeront leurs congés estivaux dans l’hexagone. Pour autant, la même étude nous apprend que 18 % des Français interrogés n’excluent pas de voyager à l’étranger. Plus de 8 futurs vacanciers sur 10 ont déjà une idée très précise de leur destination ! Un peu plus de la moitié (51 %) des sondés mettra ainsi le cap sur la mer. Quant aux autres destinations estivales, elles se répartissemnt de la façon suivante, avec des vacances :

  • à la campagne (26 %),
  • à la montagne (21 %),
  • au bord d’un lac (11 %),
  • en ville (11 %).

Il est également à noter que cet été, les Français ne passeront pas leurs vacances seuls ! Faut-il y voir une conséquence de la crise sanitaire qui nous a tenu éloignés les uns des autres ? Toujours est-il que 45 % des personnes interrogées ont l’intention de passer leurs congés estivaux entourés de leurs amis et/ou de la famille.

Le littoral hexagonal est largement plébiscité

En termes d’attractivité locative estivale, les régions du littoral hexagonal arrivent largement en tête des destinations de vacances les plus prisées en 2021. Selon les données qu’a rassemblées le site Amivac, le trio de tête regroupe ainsi – par ordre d’attractivité – la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Aquitaine et le Languedoc-Roussillon. La Bretagne quant à elle, rate de peu le podium…

À la lecture des données qu’a collectées Amivac, on constate d’ailleurs que si les villes du littoral sont omniprésentes dans le classement, la première place est occupée par… une ville située en Dordogne, à savoir Sarlat-la-Canéda ! Cet été, la capitale du Périgord Noir, que son centre-ville pittoresque et son marché de spécialités culinaires (foie gras et fromages en particulier) ont – entre autres – contribué à rendre célèbre, fera le plein de vacanciers. Suivent Porto-Vecchio, la – non moins – fameuse station balnéaire de l’Île de Beauté, puis Argelès-sur-Mer et enfin Hyères.

Les 10 destinations préférées des Français pour les vacances d’été 2021

Top 10 des régions Top 10 des villes
Provence-Alpes-Côte d’Azur Sarlat-la-Canéda
Aquitaine Porto-Vecchio
Languedoc-Roussillon Argelès-sur-Mer
Bretagne Hyères
Rhône-Alpes Saint-Paul
Midi-Pyrénées L’Escala (Espagne)
Pays de la Loire Saint-Cyprien
Corse Sarzeau
Poitou-Charente Fréjus
Basse-Normandie Roquebrune-sur-Argens

11 % des Français vont augmenter leur budget vacances

L’impact économique du coronavirus est incontestable. Si les revenus des uns ont baissé, d’autres, en revanche, ont mis à profit les confinements successifs et les restrictions qui les ont accompagnés (de déplacements, de sorties, de loisirs…) pour mettre de l’argent de côté. D’après l’étude Amivac, cette année, 11 % des Français prévoient ainsi de dépenser plus pour leurs congés d’été qu’ils ne l’avaient fait en 2019. En revanche, 63 % des sondés n’ont pas l’intention de toucher à leur budget vacances. Enfin, près de la moitié (49 %) des personnes interrogées a fait le choix d’attendre bons plans, réductions et autres promotions, quitte à devoir organiser leurs vacances à la toute dernière minute.

Méthodologie : Étude OpinionWay réalisée pour le compte de SeLoger du 5 au 6 mai 2021 auprès de 1001 Français âgés de 18 ans et plus.

Source : https://edito.seloger.com/actualites/france/vacances-veulent-vraiment-francais-cet-article-43074.html

Acheter, vendre, louer… quels sont les retours des Français qui ne font pas appel à des professionnels de l’immobilier ?

59 % des propriétaires ont déjà géré un projet immobilier seuls… mais le projet a été problématique pour 76 % d’entre eux !

58 % ont regretté de ne pas avoir fait appel à un agent immobilier et plus d’1 propriétaire sur 2 fera appel à un professionnel pour un autre projet.

Bien’ici, le site d’annonces immobilières nouvelle génération, a interrogé 2 884 propriétaires afin de savoir comment s’était déroulée la gestion de leur projet immobilier : seuls ou avec l’aide d’un professionnel ? Des résultats* surprenants qui montrent à la fois une envie première de faire seul, pour au final, beaucoup de déception et la volonté de faire appel à des professionnels pour d’autres projets.L’immobilier reste un secteur d’investissement qui séduit énormément les Français. Cependant, la complexité réglementaire ainsi que celle du marché demandent une bonne connaissance des étapes clés pour devenir bailleur ou propriétaire privé. Et même si, plus de 64 % des bailleurs privés préfèrent s’occuper de leur bien immobilier eux-mêmes, comment, au final, se déroule cette gestion pour les autres propriétaires ?

Une volonté de mener à bien son projet immobilier soi-même
Parmi les propriétaires interrogés, plus de 59 % déclarent avoir effectivement géré un projet immobilier sans faire appel à un professionnel de l’immobilier. Parmi les principaux types de projets, la gestion d’un bien immobilier arrive en tête avec 79 % de représentativité, suivie de la recherche d’un bien à 68 % et de la vente à seulement 56 %.

Faire seul… mais avec quelles conséquences ?
Même si cela peut paraître tentant, mener à bien un projet immobilier soi-même ne semble pas de tout repos. En effet, à la question «votre projet s’est-il déroulé sans problème ? », plus de 76 % des répondants avouent malheureusement que « non » !

A l’avenir …
Autre fait intéressant, plus de 58 % des personnes interrogées déclarent finalement avoir regretté ne pas avoir fait appel à un agent immobilier dans le cadre de leur projet. 51 % des répondants avouent que pour leur nouveau projet, elles sont passées ou passeront par les services d’un professionnel de l’immobilier pour éviter d’autres désillusions.

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 15 357 personnes représentatives de la population nationale française âgées de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 15 au 22 janvier 2019. Profils des personnes interrogées : 51 % de femmes et 49 % d’hommes répartis sur l’ensemble du territoire français. Echantillon des propriétaires interrogés : 2 884 personnes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.

Source : https://www.bienici.com/article/acheter-vendre-louer-quels-sont-les-retours-des-francais-qui-ne-font-pas-appel-a-des-professionnels-de-l-immobilier

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LA CRISE NE REFROIDIT PAS LES FRANÇAIS EN MATIÈRE D’INVESTISSEMENT LOCATIF

Une étude montre l’appétit des Français pour l’immobilier. La pierre est une valeur refuge d’autant plus forte en période de crise.

Une étude* menée par Kaliz, spécialiste de la gestion locative dédié aux multipropriétaires, sur la base d’un sondage national, montre que la crise économique et sanitaire n’a pas refroidi les investisseurs particuliers, bien au contraire.

Le premier élément clé est la perception de cette crise dans les intentions d’investissement. Kaliz a demandé quel impact elle avait sur les projets immobiliers. Si 45% des Français interrogés se disent plutôt bloqués, 52% affirment qu’au contraire, le contexte les pousse à investir, à se lancer aujourd’hui. Et plutôt rapidement. 41% pensent investir dès cette année, 21% hésitent encore et seuls 38% estiment qu’ils ne se lanceront pas cette année.

Et attention, c’est bien l’investissement locatif qui fait le plus envie aux Français. Kaliz leur a demandé quels étaient leurs rêves en immobilier. Evidemment, seuls 27% disent vouloir rester locataires. Et au final, ils sont quasiment aussi nombreux à souhaiter devenir propriétaires un jour. En revanche, on monte à 42% quand on leur demande s’ils souhaiteraient devenir multipropriétaires. On voit donc que l’appétit pour la pierre dépasse la simple idée d’être propriétaire de sa seule résidence principale.

Les Français n’ont donc pas peur de se lancer dans l’investissement locatif malgré la crise. Au contraire, c’est pour eux une quête de sécurité. La sécurité est la première motivation de ceux qui veulent investir. Certes, plus d’un Français sur deux met en avant l’enrichissement ou même le goût de bâtir. Mais plus de 60% d’entre eux placent devant la pérennité. L’idée d’investir dans un bien qui dure longtemps. Plus parlant encore, près de 70% d’entre eux placent en première motivation la stabilité avec l’idée de se lancer dans un investissement qui va échapper au risque.

*Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 10.612 personnes réparties sur l’ensemble du territoire français, selon la méthode des quotas, durant la période du 2 au 10 février 2021. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France regroupant 24.814 personnes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives. Profils des personnes interrogées: 51% de femmes et 49% d’hommes. Tranches d’âges: 8% de 18-24 ans, 21% de 25-34 ans, 39% de 35-44 ans, 28% de 45-54 ans et 4% de plus de 55 ans. Catégories sociales des sondés : agriculteurs exploitants : 1 %, artisans, commerçants et chefs d’entreprise : 4 %, cadres et professions intellectuelles supérieures : 9 %, professions intermédiaires (cadres moyens) : 17 %, employés et personnel de service : 20 %, ouvriers : 14 %, retraités : 26 %, sans activité professionnelle : 9 %.

Source : https://www.lavieimmo.com/placement-immobilier/la-crise-ne-refroidit-pas-les-francais-en-matiere-d-investissement-locatif-50618.html

MaPrimeRénov’ pour les copropriétés : comment ça marche ?  

MaPrimeRénov’, c’est le nom donné par le gouvernement à une aide au logement destinée à la réalisation de travaux de rénovation énergétique. MaPrimeRénov’ s’adresse à tous les propriétaires (qu’ils habitent ou louent le logement) mais aussi aux copropriétés pour leurs dépenses dans les parties communes. «  C’est un grand pas en avant pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi améliorer le pouvoir d’achat et la qualité de vie au quotidien de millions de Françaises et de Français. Il s’agit là d’un engagement concret de l’Etat pour soutenir nos concitoyens dans cette indispensable transformation », souligne Barbara Pompili, Ministre de la Transition écologique.

Si cette aide est ouverte à tous, des conditions existent pour pouvoir en bénéficier, notamment en fonction du type de travaux. 

Quelles sont les conditions pour bénéficier de MaPrimeRénov’ pour les copropriétés ?

Plusieurs éléments conditionnent l’attribution de MaPrimeRénov’ pour les copropriétés. Tout d’abord, la répartition des logements dans la copropriété. En effet, pour être éligible à la prime à la rénovation énergétique, la copropriété doit être majoritairement composée de résidences principales : à 75%. De plus la copropriété doit être immatriculée au registre national des copropriétés. Ensuite, le type de travaux qui ne doivent concerner que les parties communes de l’immeuble ou de son terrain (les espaces communs mais aussi les équipements). Enfin, le gain énergétique obtenu après les travaux qui doit atteindre 35% !

Quel est le montant maximum de MaPrimeRénov’ pour une copropriété ?

MaPrimeRénov’ pour les copropriétés peut financer jusqu’25% du montant total des travaux. Comme toute aide gouvernementale, ce total est plafonné à 15 000 euros par logement, soit l’équivalent de 3 750 euros de prime. Une somme non-négligeable en cas de travaux d’important comme une isolation par l’extérieur ou le remplacement de fenêtres ou de type de chauffage. Dans tous les cas, les travaux doivent être votés lors d’une assemblée générale de copropriété.  

Comment fonctionne le versement de l’aide à la rénovation ?

Pour faire la demande de MaPrimeRénov’ le syndic de copropriété doit faire la demande en ligne sur le site du gouvernement. La prime est ensuite versée directement au syndicat des copropriétés. Les travaux ne doivent pas commencer avant la demande en ligne. Les factures doivent être transmises une fois les travaux achevés via l’espace en ligne. Le versement de la prime a lieu dans les 4 mois qui suivent et en une seule fois.  

Un bonus est-il prévu pour un gain énergétique important ?

L’aide du gouvernement, qui s’est fixé un enjeu important avec la rénovation de 400 000 à 500 000 logements rénovés par an, prévoit également un bonus en cas de changement d’étiquette énergétique. En passant de l’étiquette F ou G à une autre, il est possible d’obtenir une aide supplémentaire de 500 euros par logement. Dans le cas d’une rénovation énergétique permettant d’atteindre les étiquettes A ou B, une autre aide de 500 euros peut être versée.

Pour les copropriétés dites fragiles avec un taux d’impayé supérieur à 8% ou les copropriétés en zone NPNRU, MaPrimeRénov’ peut se cumuler avec une enveloppe de 3000 euros par logement pris en charge par l’Anah (agence nationale de l’habitat). De plus, l’assistance maîtrise d’ouvrage étant obligatoire, et payante, une aide de 30% est prévue dans la limite de 180 euros par logement.

MaPrimeRénov’ est également cumulable avec les certificats d’économies d’énergies (CEE) et les aides des collectivités locales. De plus, les travaux bénéficient de la TVA réduite à 5,5%.

Exemple de travaux de rénovation en copropriété

L’Etat prend un exemple concret pour donner une idée du montant de la prime énergétique avec une copropriété réalisant une rénovation globale (avec isolation et ventilation) avec un gain énergétique de 38% et le passage de l’étiquette F à D (ce qui rend éligible à un bonus).

Le montant total des travaux réalisé est de 1,18 million d’euros, avec 645 600 euros de primes dont 295 600 euros de MaPrimeRénov’, 50 000 euros de bonus sorti de passoire énergétique, 300 000 euros d’aides de l’Anah pour une copropriété fragile. Ce qui est un véritable coup de pouce pour améliorer le confort des logements et leur impact sur l’environnement.

Ce qu’il faut retenir sur MaPrimeRénov pour les copropriétés

  • La copropriété doit être composée de 75% de résidences principales et immatriculée au registre national des copropriétés
  • Le gain énergétique après travaux doit atteindre 35%
  • Les travaux doivent être réalisés avec des professionnels RGE et avec une société AMO
  • Les travaux des parties communes doivent être des travaux de rénovation énergétique
  • MaPrimeRénov’ peut financer jusqu’à 25% des travaux, avec une aide maximal de 3 750 euros/logement
  • Les copropriétés fragiles ou en quartiers NPNRU peuvent obtenir une aide supplémentaire de 3000 euros/logement financée par l’Anah

Source : https://immobilier.lefigaro.fr/annonces/edito/financer/les-aides-au-logement/maprimerenov-pour-les-coproprietes-comment-ca-marche

Quelles sont les étapes d’un investissement locatif ?

De nombreux Français considèrent l’immobilier comme un placement refuge sans forcément savoir qu’il existe plusieurs étapes à suivre pour un bon investissement locatif. Du choix du type de bien à sa localisation jusqu’au régime d’imposition et dispositif fiscal de réduction d’impôts, certaines phases ne sont pas à prendre à la légère et se préparent en amont. Voici les clés pour un investissement locatif réussi.

Définir son budget d’achat pour son investissement locatif

Première étape pour un investissement locatif, la définition du budget d’acquisition. 

L’épargne pour constituer un apport

Il vous faudra prendre en compte votre épargne disponible et votre capacité d’emprunt si vous avez besoin d’un prêt pour financer cette opération immobilière. Les financements sans apport existent mais les banques demandent généralement 10% d’apport, ce qui représente le financement des frais de notaire et des frais d’agence.

Le taux d’endettement et la capacité d’emprunt

Vos habitudes bancaires seront également passées à la loupe comme pour un prêt immobilier classique. Pour faire passer votre dossier, évitez les dépenses importantes avant la demande de prêt mais aussi les abonnements à des jeux en ligne par exemple !

Pour souscrire un prêt, votre taux d’endettement ne devra pas dépasser 33%à 35% de vos revenus mais il vous faut garder en tête le fait que vous achetez un bien pour le louer et pas une résidence principale. Si vous n’êtes pas encore propriétaire de votre résidence principale, cela pourrait bloquer auprès des établissements bancaires même si les loyers perçus remboursent votre prêt… Et même si vous êtes déjà propriétaire de votre résidence principale, le taux d’endettement global ne devra généralement pas dépasser 35% (taux qui prend en compte l’assurance du prêt). La banque se basera en effet sur vos charges pour définir votre capacité d’emprunt. 

Quid des revenus générés pour le calcul de la capacité d’achat ?

Vous vous demandez peut-être si la banque ne prendra pas en compte les revenus de la location ? Vous avez raison, mais elle ne prendra en compte qu’une partie, généralement 70% des revenus locatifs. Les 30% restants servent de sécurité pour couvrir les aléas financiers d’un investissement locatif (vacance locative, loyer impayé, dépenses pour le logement non-déductibles, etc.).

Rechercher le bien immobilier

Une fois le budget d’achat connu et bien maîtrisé, vous pouvez commencer les recherches de bien immobilier correspondant à vos critères. Plusieurs questions se posent à ce stade du projet, mais principalement vers quel type de bien aller ? Un studio ? Un deux-pièces ou un logement plus grand ? Une résidence de services ? Ou encore un logement pour bénéficier d’un avantage fiscal ? La réponse à ces questions orientera votre quête d’investissement locatif.

Les dispositifs fiscaux pour choisir un bien

Si vous souhaitez profiter du dispositif fiscal en loi Pinel, vous devrez regarder du côté des programmes de logements neufs. Pour profiter d’une baisse d’impôts, vous devrez vous engager à louer le bien pendant une durée comprise entre 6 ans et 12 ans.  

L’emplacement et la demande des locataires

Il n’y a pas de secret, pour réussir son investissement locatif, l’emplacement est la règle d’or ! Un logement bien placé aura moins de difficultés à se louer qu’un bien dans une zone difficile d’accès. Optez pour des biens proches des transports en commun, dans un centre-ville, etc.

La demande pour le type de bien est également importante ainsi adaptez vous au marché local de la ville où vous souhaitez investir.

Calculer la rentabilité de l’investissement locatif

Pour connaître la rentabilité de votre achat locatif, vous devrez faire plusieurs calculs : lors des recherches vous pourrez définir une rentabilité brute mais vous devrez l’affiner avec la rentabilité nette voire la rentabilité dite « nette nette » qui prend en compte les déductions d’impôts et l’imposition. C’est en effet un élément que l’on oubli dès le début des recherches : l’imposition des revenus qui peut être salée !

Anticiper les frais liés à l’investissement

Gardez en tête que lorsque l’on loue un logement, des aléas peuvent intervenir : par exemple une rupture de bail, un loyer impayé, des travaux non-récupérables… Autant de bonnes raisons de garder une épargne de sécurité à prévoir dans vos calculs.  

Réfléchir au mode de gestion de l’investissement locatif

Allez-vous gérer la relation avec le locataire ou confier cette mission à un professionnel ? Avez-vous le temps de vous occuper de votre investissement locatif ou souhaitez-vous déléguer la gestion ? C’est une question à se poser assez tôt. Des frais de gestion seront donc à prévoir si vous optez pour un intermédiaire.  

Choisir le type de bail : vide ou meublé

Autre élément important à considérer : le type de bail. Allez-vous louer un bien vide ou meublé ?  Ce choix aura une incidence sur votre imposition : dans le premier cas vous devrez déclarer vos revenus fonciers (réel ou micro-foncier s’ils ne dépassent pas 15 000 euros par an) et dans l’autre cas au régime des loueurs en meublé professionnel (recettes annuelles supérieures à 23 000 euros) ou non-professionnel (recettes annuelles inférieures à 23 000 euros).

Bon à savoir : pour une location meublée, la liste des meubles est encadrée par la loi.

Trouver le bon locataire

Une des étapes essentielles pour un investissement locatif est de trouver le bon locataire en fonction de son dossier. Pour accélérer votre recherche de locataire, mieux vaut être réactif. La liste officielle des pièces justificatives est encadrée. Pour choisir le bon profil, n’hésitez pas à vous référer à sa situation professionnelle ou à ses garants.  Faire appel à une agence immobilière spécialisée dans la gestion locative reste la meilleure des solutions qui s’offrent à vous pour un gain de temps et une sécurité professionnelle.

Vous pouvez opter pour une assurance loyer impayé si vous avez des craintes concernant ce cas de figure. Dans ce cas, le profil du locataire devra correspondre aux critères de l’assurance.

Déclarer ses impôts sur les revenus générés

Les revenus générés par l’investissement locatif doivent être déclarés aux impôts. Différents régimes existent et dépendent du montant des revenus générés et du régime fiscal. 

Notez que vous pouvez déduire les charges de vos revenus locatifs dans le cas d’une location LMP ou soumise au régime de bénéfice réel et qu’un abattement forfaitaire de 50% (régime micro-bic) est prévu pour les loueurs LMNP. C’est à ce moment précis que vos éventuelles réduction d’impôt (loi Pinel, loi Denormandie ou Malraux) interviennent.

Source : https://immobilier.lefigaro.fr/annonces/edito/acheter/j-achete/quelles-sont-les-etapes-investissement-locatif

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NOTRE FORCE

Titulaire d’une carte professionnelled’agent immobilier depuis près de 50 ans

Adhérent à la FNAIM, 1er Syndicat Immobilier

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Formé tous les ans sur les droits et les nouveautés du marché de l’immobilier

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La signature du compromis en Agence (avec encaissement d’acompte)

L’étude de la solvabilité des candidats à l’acquisition

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L’Agence du Soleil vous rembourse votre location de vacances pour l’achat d’un bien !

CONDITIONS DE L’OFFRE

« VOTRE LOCATION REMBOURSEE POUR L’ACHAT D’UN BIEN »

ARTICLE 1 – Champ d’application

Les présentes Conditions régissent les modalités de l’offre « Votre location remboursée pour l’achat d’un bien » proposée

par le réseau d’agences « AGENCE DU SOLEIL – SOCIETE CATALANE DE GESTION ».

ARTICLE 2 : Durée

La présente offre est valable à compter du 15 juin 2021 jusqu’au 30 septembre 2021.

ARTICLE 3 : Modalités

Afin de pouvoir bénéficier de l’offre, vous devez avoir au préalable réservé et soldé intégralement votre location dans l’une des 8 « AGENCE DU SOLEIL »
(Port-La-Nouvelle, Narbonne-Plage, Gruissan, Port Leucate, Port Barcarès, Canet en Roussillon, Argelès-sur-mer et Saint Cyprien), un séjour « Locations de vacances » d’une semaine (7 jours) au minimum et d’un mois (30 jours) maximum dans la période indiquée à l’article 2 « Durée » des présentes. La somme maximale de remboursement sera de 1500€ TTC.

Si vous trouvez et achetez dans la période indiquée à l’article 2 « Durée » des présentes un bien (appartement, maison, commerce) dans l’une des 23 agences du réseau « AGENCE DU SOLEIL – SOCIETE CATALANE DE GESTION – Well C’Home » (liste des agences disponible sur www.agencedusoleil.com ), nous vous remboursons votre location.

Aucun remboursement ne pourra avoir lieu sans réitération du compromis de vente signé devant le notaire.

Le remboursement sera versé par l’ « AGENCE DU SOLEIL » ou la « SOCAGEST » dans les 30 jours de la signature de l’acte authentique du bien chez le notaire.

Le remboursement correspondra au tarif de la location soldée intégralement dans la limite d’un montant de 1500€ TTC.

La caution ainsi que la taxe de séjour ne sont pas comprises dans ce remboursement.

Pourquoi confier son projet à un agent immobilier ?

Selon une étude du Conseil général de l’environnement et du développement durable, 62 % des transactions se font par l’intermédiaire d’un professionnel de l’immobilier.

Cette proportion reste stable dans le temps, prouvant si besoin que l’offre de services des professionnels de l’immobilier et leur accompagnement dans les transactions sont toujours recherchés et appréciés.

QUELS AVANTAGES DE PASSER PAR UN AGENT IMMOBILIER ?

Commercial avisé, accompagnateur, homme de réglementation

  • Bien implanté dans son secteur, le professionnel de l’immobilier possède une fine connaissance du marché qui lui permet d’évaluer un bien (ou son prix de location) au juste prix. Son objectif est de vous aider à vendre ou louer votre logement le plus rapidement possible et au meilleur prix, en limitant les négociations des potentiels acheteurs ou locataires.
  • Il rédige votre annonce afin de définir de façon précise et objective votre logement. Certaines agences travaillent en réseau ou en groupement (bourse de l’immobilier, AMEPI, SIA, etc.). Cela veut dire que lorsque vous confiez une vente ou une recherche de locataire à cet agent immobilier, il augmente sa puissance de commercialisation en travaillant en collaboration avec d’autres confrères. En parallèle, il peut mettre en place des campagnes de mailings, organiser des journées portes ouvertes, etc.
  • Après avoir communiqué sur la vente ou la location de votre bien, il recueille les demandes de visites, étudie les dossiers des personnes intéressées et sélectionne les dossiers jugés « solides ». L’objectif consiste à éviter de vous faire perdre du temps en limitant les risques de défaut de financement ou de loyers impayés. 
  • Le rôle de l’agent immobilier consiste aussi à vous informer sur vos obligations et vos droits, les aides dont vous pouvez bénéficier, etc., et à vous apporter tous les conseils utiles dans le cadre d’une vente, d’un achat ou d’une location.

Quel type de mandat choisir ?

Un mandat (contrat) doit être établi et signé lorsque vous confiez la vente ou la location de votre bien à l’agent immobilier.

Le document décrit le bien, fixe le prix de vente ou le loyer, les honoraires d’agence qui seront perçus par le professionnel et détermine les obligations de l’agent immobilier ainsi que les vôtres et les conditions de résiliation du mandat.

Notez que le mandat de vente ou de location est limité dans le temps. Il existe d’autre part deux types de mandat :

  • le mandat exclusif : l’agent immobilier est le seul à pouvoir vendre ou louer votre bien pendant la durée du mandat, et dans ce contexte fortement mobilisé pour parvenir à la vente le plus rapidement possible ;
  • le mandat sans clause d’exclusivité : l’agent immobilier peut vendre ou louer votre bien, mais vous avez le droit de confier la vente ou la location à d’autres professionnels, voire de trouver un acquéreur ou un locataire par vos propres moyens. Une méthode qui semble intéressante mais qui motivera moins les professionnels mis en concurrence, et qui risque de s’avérer finalement inefficace.

Source : https://www.fnaim.fr/3704-pourquoi-confier-son-projet-a-un-agent-immobilier.htm