Palmarès des villes pour la retraite : trois villes d’Occitanie dans le Top 20

Le palmarès des cinquante villes de France où il fait bon prendre sa retraite a été établi par le Figaro. De nombreux critères ont été pris en compte pour classer ces villes où il fait bon être sénior.

Où s’installer une fois à la retraite ? Pour bon nombre de nouveaux retraités, il n’y a pas débat. Ils passeront la deuxième partie de leur vie dans leur maison ou à proximité de leurs enfants et petits-enfants. Pour d’autres, qui ont moins d’attaches ou qui ont plus l’esprit vagabond, choisir la ville où s’établir peut s’avérer difficile.

Aller dans le Sud, oui, pourquoi pas ? Mais où ? Comment choisir sa destination ? Sur quels critères ? Le Figaro publie son second classement des villes de plus de 10 000 habitants où il fait bon vivre quand on est retraité.

Cinq critères ont été pris en compte pour établir le palmarès : démographie et attractivité pour les retraités, santé, qualité du cadre de vie, immobilier, vie sociale et services aux séniors. Chaque critère est lui-même divisé en sous-catégories.

Le Bassin d’Arcachon en tête

Andernos-les-Bains en Gironde occupe la tête du classement, suivie par Arcachon qui était en tête l’an passé. À la troisième place se trouve la ville de Vannes dans le Morbihan. La première ville de plus de 100 000 habitants est Limoges à la 8e place grâce notamment aux prix abordables de l’immobilier.

Narbonne, la mieux classée en Occitanie

La ville la mieux classée en région Occitanie est Narbonne (Aude) à la 4e place. Elle obtient la note de 18,29/20. De nombreux retraités y résident déjà puisque le taux de retraités se monte à 26,8 %. Le prix d’achat d’un appartement ancien en 2019 est de 1850 € le m². La ville compte quatre clubs du 3e âge. Vivre à Narbonne, c’est profiter de 2465 heures de soleil par an.

Agde (Hérault) se classe 9e avec une note de 17,08/20. Le taux de retraités est de 34,5 %. L’immobilier est plus cher qu’à Narbonne avec un prix de 2710 le m² pour un appartement ancien en 2019. La ville compte trois clubs du 3e âge. Le soleil brille 2668 heures par an à Agde.

Une autre ville de l’Hérault, Béziers, arrive en 19e position. La ville est notée 15,45/20. 24,6 % des habitants sont retraités. Les prix de l’immobilier sont faibles à 1160 € le m² pour un appartement ancien en 2019. Sept clubs du 3e âge existent à Béziers. L’ensoleillement est identique à Agde avec 2668 heures dans l’année.

Dans ce Top 50, on trouve aussi Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales) à la 27e place, Nîmes (Gard) à la 29e place, Saint-Cyprien (Pyrénés-Orientales) à la 42 place et Perpignan (Pyrénées-Orientales) à la 47e place. Aucune ville de l’ex-région de Midi-Pyrénées ne figure dans le palmarès.

Source : https://www.ladepeche.fr/2020/10/09/palmares-des-villes-pour-la-retraite-trois-villes-doccitanie-dans-le-top-20-9128915.php

“Immobilier : nouvelle donne en 2021”

Qu’attendre, concrètement, de la future agence d’urbanisme de la région de Montpellier ? Comment anticiper la nouvelle réglementation thermique RE 2020 ? Quels sont les défis majeurs à relever en 2021 en matière d’immobilier et d’urbanisme en Occitanie Est ? L’épidémie de Covid-19 accélère-t-elle la digitalisation des métiers de l’immobilier ?

 Interview pour Midi libre de Bertrand Malquier, président de la Fnaim LR, Olivier Ganivenq, PDG du groupe Proméo (Sète) et Céline Guitard, présidente de Pôle Habitat FFB 34.

Crédit immobilier : les taux baissent pour le 5e mois consécutif !

En novembre, les taux d’emprunt ont encore baissé, atteignant 1,20 % en moyenne, contre 1,21 % le mois précédent. C’est le 5e mois consécutif que les établissements prêteurs améliorent les conditions des crédits immobiliers pour soutenir la demande.

 

Les taux de crédit immobilier atteignent 1,20 % en moyenne

Au mois de novembre, les taux de crédit immobilier ont encore baissé, atteignant 1,20 % en moyenne, contre 1,21 % en octobre 2020, selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Ils atteignent respectivement 1,28 % pour l’accession dans le neuf et 1,21 % pour l’accession dans l’ancien. Dans le détail, les taux d’emprunt s’établissent à 0,99 % sur 15 ans, 1,12 % sur 20 ans et 1,38 % sur 25 ans. Précisons que c’est le cinquième mois consécutif que le taux moyen des nouveaux crédits recule. En effet, en dépit du renforcement de la crise économique et sociale et de la montée des risques de défaut d’une partie des emprunteurs, les établissements prêteurs continuent à améliorer les conditions des crédits octroyés, pour soutenir la demande de crédits sur des marchés fragilisés par deux périodes de confinement.

 

Les taux d’emprunt moyens en novembre

Durée d’emprunt Taux moyen
15 ans 0,99 %
20 ans 1,12 %
25 ans 1,38 %

 

Les durées d’emprunt diminuent légèrement en novembre

La durée moyenne des prêts immobiliers s’est établie à 233 mois en novembre, contre 235 mois en octobre 2020, soit sur un niveau élevé jamais constaté. En novembre, la durée d’emprunt moyenne a atteint 252 mois pour l’accession dans le neuf et 247 mois pour l’accession dans l’ancien. La durée moyenne est particulièrement élevée depuis le début de crise sanitaire et s’est encore allongée depuis le début de l’été, de l’ordre de 5 mois. L’allongement des durées d’emprunt a permis d’absorber les conséquences de la hausse des prix des logements et de contenir le taux d’effort sous le seuil de 33 %, comme le recommande le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF). En novembre, 50,5 % des prêts à l’accession ont été accordés avec sur une durée comprise entre plus de 20 ans et 25 ans. Du côté des prêts immobiliers les plus courts (15 ans et moins), ils ne représentaient plus que 16,8 % de la production, soit moitié moins que dans la première moitié des années 2010.

 

Le coût des opérations réalisées augmentent 2 fois plus vite

Le coût relatif des opérations réalisées par les emprunteurs représentait 4,6 années de revenus en novembre 2020, soit un niveau particulièrement élevé. Le coût des opérations réalisées progresse deux fois plus vite qu’en 2019 : + 4,7 % sur les 11 premiers mois de 2020, après « seulement » + 2,2 % en 2019. Cela s’explique principalement par le déplacement de la production de crédits vers les clientèles plus aisées. Parallèlement, le niveau de l’apport personnel s’élève aussi très rapidement depuis la fin de l’année dernière (+ 11 %, après – 5,2 % en 2019). Jusqu’à maintenant, les taux d’apport personnel des emprunteurs étaient descendus à des niveaux très bas car les banques souhaitaient répondre à la demande des ménages jeunes et modestes, faiblement dotés en apport personnel, qui n’auraient pu sans cela réaliser leurs projets immobiliers, même dans un contexte de taux bas.

CHIFFRES CLÉS

Les revenus des emprunteurs augmentent plus vite que par le passé : + 2,6 % sur les 11 premiers mois de 2020 contre + 0,4 % en 2019.

Article de : https://edito.seloger.com/actualites/france/credit-immobilier-taux-baissent-5e-mois-consecutif-article-40480.html

Immobilier et crise sanitaire, où sont les bons plans dans les Pyrénées-Orientales ?

Acheter à Perpignan, bon plan ? Louer plus grand ? Et quel dispositif sanitaire pour les visites dans les Pyrénées-Orientales avec la crise sanitaire ?

Le secteur de l’immobiliser se porte plutôt pas mal en cette fin de confinement dans les Pyrénées-Orientales. En tout cas il sait s’adapter à la situation et propose quelques opportunités.

Notre invité : Fréderic Malquier président de la FNAIM 66, la Fédération Nationale de l’immobilier dans les Pyrénées-Orientales.

Le protocole sanitaire pour les visites : en couple, avec les enfants ?

Les visites de maisons ou d’appartements, à louer, à acheter ont pu reprendre en cette fin de confinement, dans les Pyrénées-Orientales comme ailleurs en France, mais dans quelles conditions ?

Fréderic Malquier :

“Le protocole sanitaire nous impose à faire seulement une visite par appartement ou par maison bref par logement, sur une demi-journée. On peut faire visiter, et là nous avons eu une tolérance qui a été acceptée par la Ministre du Logement, et qui nous autorise à visiter avec un couple, une personne est égal un couple, voir une famille. Donc toutes les personnes qui se posaient la question pour savoir si on pouvait visiter en couple avec des enfants, bref en famille, oui on peut visiter un seul bien par matinée ou par après-midi. Il faut être très vigilant par rapport à ça, c’est une règle qui s’applique aux particuliers et aux professionnels.”

Les Pyrénées-Orientales et les retraités : triangle d’or, montagne et littoral

On le sait nous sommes un département très attractif pour prendre soin de soi et trouver du soleil, du patrimoine, de la convivialité, bref un magnifique cadre de vie, à la retraite. Et ça se confirme.

Fréderic Malquier :

“Quand toutes les conditions sanitaires seront revenues à la normal, on aura également ce succès qui était confirmé depuis des années, et qui fait que notre département des Pyrénées-Orientales est une locomotive régionale voir française en terme d’attractivité des retraités. On le voit, nos clients ont en général plus de 50 ans pour toutes les recherches de maisons en périphérie de Perpignan, je pense au triangle d’or qui est au sud de Perpignan : Cabestany, Saleilles, Villeneuve de la Raho, je pense également à tout ce qui est Cerdagne et Capcir, les Albères, on a beaucoup de demandes, également sur la côte : Canet, Barcarès, Saint-Cyprien, ont une très forte attractivité en terme de retraités, parce qu’il fait bon vivre dans les Pyrénées-Orientales et c’est ce qui fait que notre marché immobiliser se porte très très bien.”

Acheter à Perpignan, bon plan ?

Perpignan ou périphérie voir village un peu plus éloigné, même si ça fait un peu de route, acheter un bien c’est avant tout se poser cette question fondamentale dans les Pyrénées-Orientales.

Fréderic Malquier :

“Perpignan est aujourd’hui la belle endormie qui je l’espère va se réveiller. Tous les indicateurs nous témoignent que Perpignan est une des villes où le prix au m² est le moins cher de toute la côte méditerranéenne. Donc aujourd’hui oui, il y a de bonnes opportunités à avoir, que ce soit pour investir dans la pierre à titre principal, secondaire ou de rentabilité.”

Confinement et locations : plus d’espace demandé et d’avantage en périphérie

Un premier confinement avec les moyens du bord, un deuxième différent et pour anticiper l’avenir, certaines personnes ont décidé de louer plus grand dans les Pyrénées-Orientales.

Fréderic Malquier :

“Depuis quelques années on voit une très très forte demande sur les extérieurs de Perpignan, les gens ont souhaité partir un petit peu de la ville de Perpignan pour habiter les extérieurs parce qu’ils souhaitaient avoir déjà un extérieur plus profitable, plus grand, des surfaces plus grandes avec une accessibilité au niveau des transports en commun. Depuis le confinement, on a constaté que les demandes locatives avaient progressées de 25% en termes de surfaces immobilières recherchées. Et cette surface également, pour les appartements, elle a progressé entre 115 et 150 %. Quand des gens avant voulaient habiter dans un 100 m² aujourd’hui ils veulent 115 ou 150 m². Donc vraiment on voit que le confinement a eu un effet de dynamisme certain, tant sur les locations que sur les transactions avec une envie d’avoir plus grand, d’avoir un extérieur plus profitable, plus sympathique, un intérieur plus cosy au cas où il y aurait un troisième confinement par exemple qui viendrait malheureusement ternir tout ça.”

Source : https://www.francebleu.fr/emissions/la-vie-en-bleu-le-dossier-du-jour/roussillon/immobilier-et-crise-sanitaire-ou-sont-les-bons-plans-dans-les-pyrenees-orientales?fbclid=IwAR2waiPB0YTIEe5Tol1Me-zN5w0Da6BcJbUVq1c4-903tJK-2v8WjAHlu5g

6 idées reçues sur les crédits immobiliers

Lorsque l’on souhaite investir dans l’immobilier, on a de nombreux préjugés sur les crédits bancaires et leurs conditions d’obtention. Vrai ou faux, préjugé, fondé ou non… On décortique le tout avec vous.
Âge, apport ou profession, on revoit point par point les préjugés sur les crédits immobiliers.

Sommaire

« Pour obtenir un crédit immobilier, il faut obligatoirement un apport »

Faux ! Mais il est vrai qu’il sera plus facile pour vous d’obtenir un crédit immobilier en apportant un peu de votre épargne. Cependant, ça n’est pas impossible de faire un achat immobilier sans aucun apport !

Certaines banques peuvent en effet vous prêter 100 % du prix de l’achat, voire 110 % pour couvrir les frais de notaire, en fonction de votre profil bancaire.

Si vous n’avez pas d’apport, vous devrez alors mettre en avant d’autres atouts : une stabilité, voire une évolution professionnelle rapide, la bonne tenue de vos comptes bancaires (pas de découvert, des placements financiers…), un taux d’endettement inférieur à 33 % de vos revenus mensuels. Vous pouvez également mettre en avant votre capacité à épargner, même si cette épargne n’est pas destinée à un achat immobilier.

BON À SAVOIR

Pour acheter sans apport, vous pouvez non seulement construire un dossier béton, mais également recourir à une éventuelle aide à l’achat, comme le PTZ, le PAS, les aides locales, si vous y êtes éligible.

« Je suis obligé d’emprunter dans ma banque »

Faux ! Il est même conseillé de consulter plusieurs établissements bancaires pour que vous puissiez les comparer entre eux, et notamment leurs taux d’intérêt. De plus, en allant voir ce qu’il se passe dans les autres banques, vous pourrez mieux négocier auprès de la vôtre, en lui présentant les autres taux d’intérêt que vous avez trouvés ailleurs. Si celle-ci ne fait pas l’effort que vous souhaitez qu’elle fasse, alors vous pourrez en effet vous tourner vers une autre banque.

Vous pouvez aussi aller voir un courtier immobilier qui se chargera de trouver le meilleur financement pour vous.

BON À SAVOIR

Vous pouvez également emprunter sans une banque, en faisant ce que l’on appelle un prêt-vendeur, soit un emprunt auprès de l’ancien propriétaire de votre futur logement. Mais c’est une situation très rare.

« Il est impossible d’assouplir son crédit en cours de remboursement »

Faux ! La souplesse d’un crédit immobilier va bien sûr dépendre de plusieurs facteurs, dont votre profil professionnel et bancaire, mais également du montant de votre crédit. Quoiqu’il en soit, il vous sera toujours possible de voir certaines de vos modalités de remboursement assouplies : anticipation (en cas de rentrée d’argent conséquente), réduction ou suspension de la mensualité, si vous affrontez un problème financier. Bref, rien n’est figé dans le marbre, vous pouvez réviser votre taux de remboursement, à la hausse ou à la baisse, en justifiant, bien sûr, d’une certaine situation.

« J’ai plus de 60 ans ou moins de 25 ans, il m’est impossible d’emprunter »

Préjugé ! Si vous avez 60 ans ou plus, ne vous en faites pas, vous pouvez toujours contracter un crédit immobilier en vue d’acheter un bien. Avec l’allongement de la durée de vie et compte tenu du fait qu’à cet âge-là, il est courant d’avoir des revenus ou une épargne plus conséquente, les banques sont donc de moins en moins réfractaires à prêter de l’argent à des profils comme le vôtre. Simplement, l’assurance emprunteur pourra être plus élevée.

Si, a contrario, vous êtes très jeune, sachez qu’il est tout à fait possible d’emprunter de l’argent aux banques en vue de l’investir dans l’immobilier. A partir du moment où vous avez des revenus réguliers, une situation bancaire avantageuse (pas de découvert, un apport), alors il n’y a pas de raison à ce que votre établissement s’oppose à votre projet.

BON À SAVOIR

Si vous avez moins de 25 ans, renseignez-vous auprès de votre banque afin de savoir si celle-ci n’accorde pas de prêts spécifiques pour les jeunes investisseurs.

« Si je prends un crédit immobilier, je suis pieds et poings liés pour 20 ans »

Faux ! Car vous pouvez tout à fait revendre votre bien immobilier dès que vous le souhaitez, et ce même si vous n’avez pas encore fini de rembourser le crédit via lequel vous l’avez acheté.

En France, la durée moyenne de détention d’un emprunt immobilier est en effet de 7 ans. Ce qu’il faut comprendre par-là, c’est qu’à tout moment, vous pouvez revendre votre bien immobilier, mais également faire racheter votre crédit. Il vous sera possible aussi, en cas de vente de votre investissement, de rembourser de façon anticipée votre emprunt afin de vous en acquitter.

Enfin, sachez que, même si c’est une démarche plus rare, vous pouvez également procéder à un transfert de crédit pour utiliser ce dernier pour un nouveau projet immobilier.

« Il est difficile d’emprunter lorsque l’on est auto-entrepreneur »

Idée reçue. Depuis plusieurs années, le statut d’auto-entrepreneur s’est largement démocratisé, et n’est plus une exception. De ce fait, les banques se sont habituées elles-aussi à ces nouvelles configurations. Les micro-entrepreneurs n’ont plus de mal à emprunter pour acheter un bien immobilier, au même titre que les professions libérales ou les artisans.

BON À SAVOIR

Certains organismes de courtage sont spécialisés dans les dossiers spécifiques tels que ceux d’un projet d’achat d’un micro-entrepreneur. Si tel est votre cas, n’hésitez pas à consulter ce type de spécialistes afin de trouver le meilleur taux.

Article de : https://edito.seloger.com/financement/credits-immobiliers/6-idees-recues-credits-immobiliers-article-39442.html

Balcon, jardin, terrasse : ces critères qui valent de l’or en immobilier

Après le confinement, les logements avec extérieur n’ont jamais eu autant la côte. Balcons, terrasses et même jardins sont passés de critères facultatifs à critères indispensables pour bon nombre de futurs acquéreurs. Les professionnels du secteur ont pu constater un changement notable des habitudes de consommation qui ne semble pas près de s’estomper.

Sommaire

  1. Un extérieur dans les grandes villes pour des biens d’exception
  2. Un critère qui pousse à quitter les centres-villes
  3. Investir dans une maison de vacances pour avoir un extérieur

Parmi les principaux critères qui donnent de la valeur à un bien immobilier, la présence d’un extérieur est certainement une des plus recherchée depuis la fin du confinement. Si l’emplacement en centre-ville assure une valeur sur le long terme, avoir un extérieur est devenu tout aussi essentiel. Jardin, terrasse ou balcon, ils peuvent valoir de l’or… faisons le point.

Un extérieur dans les grandes villes pour des biens d’exception

Lolita, jeune trentenaire, habite un studio de 20m2 dans le quartier des Batignolles, agrémenté d’une terrasse de près de 30m2. “Cela ne me dérange pas de vivre dans une petite surface avec une telle ouverture sur l’extérieur”, précise-t-elle.Aujourd’hui, avoir un extérieur lui semble indispensable, encore plus après ces deux mois passés enfermée. Et si elle doit déménager un jour, avoir un extérieur sera son critère de recherche numéro 1. Une tâche qui peut s’avérer compliquée, surtout dans Paris intra-muros ou dans d’autres grandes métropoles françaises où les extérieurs font tout de suite grimper le prix des logements.

Balcon, terrasse, jardin : un critère en or

Meryem Guillemet, conseillère indépendante en immobilier du réseau IAD France, est formelle : “si un extérieur est un critère en or dans l’immobilier ? La réponse est un grand oui. Dans des secteurs très urbains, avec peu d’extérieurs et où le prix au mètre carré est élevé, un balcon ou une terrasse représentent une plus-value non négligeable et qui compte dans la valeur du bien”. Et c’est d’ailleurs cette envie d’extérieur pas forcément compatible avec tous les budgets qui peut aussi pousser de futurs acquéreurs à passer le périphérique ou à s’éloigner des grandes villes.

Un critère qui pousse à quitter les centres-villes

Pour Sébastien Anceau, agent immobilier pour Stéphane Plaza Immobilier dans l’Essonne, “ceux qui ne peuvent pas se permettre d’acheter sur Paris s’éloignent pour avoir des plus grands espaces, des jardins, de l’air, du calme”. Il ajoute : “Aujourd’hui, un appartement sans balcon est moins demandé sur le marché et encore plus après cette période de confinement”. La volonté d’avoir une bonne qualité de vie semble n’avoir jamais été aussi importante. Et cela passe forcément par un accès à l’extérieur.

Des envies d’espace renforcées par le confinement

Des propriétaires d’appartements sans extérieurs ont d’ailleurs mis en vente leur bien pour chercher autre chose, dans le même secteur, mais avec un jardin, une terrasse ou au moins un balcon. Certains envisagent même de s’éloigner encore plus des villes. Avec le développement du télétravail, il est en effet possible de s’éloigner un peu pour avoir un bien avec un extérieur.

Notre étude sur le regard des acquéreurs révèle d’ailleurs que l’espace est un des critères les plus importants depuis la fin du confinement (après le prix, l’emplacement et la luminosité).

Investir dans une maison de vacances pour avoir un extérieur

Un autre schéma s’observe, notamment chez les Parisiens avides de nature. Obligés de rester en ville pour des raisons professionnelles, ils font le choix de louer un appartement à Paris et investissent dans une résidence secondaire dans des zones à moins de deux heures de Paris.

De plus en plus de demandes de résidences secondaires à deux heures de Paris

Les demandes pour des maisons secondaires dans les campagnes proches des grandes villes ont explosé pendant le confinement. Certains n’hésitant pas à faire des offres par téléphone, sans même avoir pu visiter les biens ! Une envie de retour à la nature évidemment liée au contexte actuel mais qui ne semble pas être qu’un simple phénomène de mode.

Vous l’aurez compris, en immobilier, avoir un extérieur est un critère qui peut donner de la valeur à un logementUn critère qui peut faire grimper le prix d’achat mais qui contribue surtout à la qualité de vie dans le logement…

Article de : https://immobilier.lefigaro.fr/annonces/edito/vendre/je-vends/balcon-jardin-terrasse-ces-criteres-qui-valent-de-lor-en-immobilier

71 % des vendeurs ont confiance dans l’aboutissement de leur projet immobilier

Les vendeurs gardent le moral ! La moitié d’entre eux y voient même une source de nouvelles opportunités ! Entre concrétisation de leur projet, secundo-accession et espoir de reprise économique, les vendeurs abordent cette fin d’année avec optimisme.

Malgré la crise, notre étude montre que les vendeurs gardent le moral. © Tijana Simic

 

1 vendeur sur 2 voit la crise sanitaire comme une opportunité à saisir !

Les vendeurs restent optimistes ! En effet, notre toute dernière étude sur le moral de l’immobilier montre que la confiance immobilière résiste. Au global, elle recule de 5 petits points. En effet, les vendeurs ont compris que la crise risquait d’être longue et qu’elle aurait un impact économique réel. Pour autant, cela n’entame nullement leur moral.

En effet, près de la moitié d’entre eux pensent que la situation actuelle sera source d’opportunités. Quelles sont elles ? Il est difficile de répondre précisément à cette question. On peut toutefois penser que le confinement ayant été à l’origine d’un certain nombre de séparations, l’ex-époux(se) cherchera, par exemple, à acheter un nouveau logement. Quoi qu’il en soit, ce qui est sûr, c’est que le Covid a été (et le reste !) une source considérable de questionnement pour les Français. Mais de la réflexion à l’action, le fossé est parfois large et les nouvelles attentes des Français pourraient ne pas résister à l’épreuve de la réalité. L’envie de changer d’air se concrétisera-t-elle, entraînant par là même un boom des transactions, notamment en province ? Seul l’avenir nous le dira, mais un Francilien sur quatre souhaiterait déjà acheter en région

Pour les vendeurs, l’horizon se dégage. Jugez plutôt, ils ne sont plus qu’un tiers (34 %) à s’attendre à ce que le nombre de biens sur le marché augmente au cours des six prochains mois, contre 45 % en avril dernier ! Toutes choses étant égales par ailleurs, à titre de comparaison, en avril dernier, 45 % des vendeurs misaient sur une hausse de l’offre et ils n’étaient plus que 41 % à le penser en mai.

 

Les vendeurs ne doutent pas qu’ils réussiront à vendre leurs logements

Les vendeurs ont donc toujours confiance dans le marché immobilier, mais il semble que ce sentiment aille même au-delà. En effet, ils ont aussi l’espoir qu’une reprise économique globale se produira. Ainsi, plus de la moitié des vendeurs pensent que le pouvoir d’achat va se maintenir et 18 % misent sur une augmentation. Ce chiffre atteint même 47 % chez les moins de 35 ans !

Cet optimisme se retrouve logiquement dans les perspectives immobilières des vendeurs. En effet, 71% d’entre eux ont confiance dans l’aboutissement de leur projet, un score qui est en constante augmentation depuis le mois de février dernier. Mais si les Français veulent vendre, c’est surtout et avant tout pour acheter. Il ressort ainsi de notre étude que les 3/4 des vendeurs sont de potentiels secundo-accédants qui cumulent deux projets : vendre pour acheter derrière ! et 50 % d’entre eux espèrent d’ailleurs parvenir à réaliser les deux opérations au même moment, notamment pour éviter de s’engager dans un (couteux !) prêt relais.

CHIFFRES CLÉS

47 % des milléniaux misent sur une hausse du pouvoir d’achat.

 

La moitié des vendeurs pensent que c’est le bon moment pour vendre

Le moral des vendeur résiste donc à la crise et pour cause : 49 % d’entre eux estiment que c’est le bon moment pour vendre. Pourtant, force est de constater qu’un peu plus de la moitié (59 %) des projets immobiliers est encore impactée par la crise sanitaire que nous traversons actuellement. Pour autant, il semble que cet impact tende à quelque peu se résorber. D’une part, les chiffres sont sans commune mesure avec ceux d’avril dernier où 93 % des projets immobiliers avaient été touchés par le Covid ! D’autre part, l’impact se fait essentiellement sur les retards subis lors des démarches (23 %) devant être effectuées pour vendre son bien immobilier et, dans une moindre mesure, sur les reports (14%).

Notre enquête montre également que la moitié des vendeurs misent avant tout sur un nombre plus élevé d’acheteurs. Un espoir qui pourrait toutefois être limité par le durcissement des conditions d’accès à l’emprunt et cela alors même que les taux immobiliers continuent de baisser… Mais ils sont également 38% à miser sur un maintien de la hausse des prix, hausse que confirme notre Baromètre LPI-Seloger. Les vendeurs plus optimistes, notamment ceux dont le bien se trouve en région parisienne, espèrent aussi une reprise de l’activité économique, qui pourrait favoriser leur projet.

Finalement, même si la situation sanitaire et son évolution pour les prochains mois semblent incertaines, elles sont loin d’entamer la perception solide qu’ont les Français de l’immobilier. Il reste en effet une valeur refuge en temps de crise et deux tiers des vendeurs trouvent la pierre encore plus sûre depuis le début de l’épidémie. L’appétit des Français pour l’immobilier n’est donc pas prêt de s’éteindre, que ce soit chez les vendeurs ou les acquéreurs !

Notre méthodologie : les chiffres précités sont issus d’une enquête réalisée par OpinionWay pour le compte de SeLoger du 3 au 17 septembre 2020.

Article de : https://edito.seloger.com/actualites/france/71-vendeurs-ont-confiance-l-aboutissement-de-projet-immobilier-article-39931.html

Pinel : quand peut-on revendre un investissement locatif ?

Il est possible de revendre un investissement locatif Pinel à partir du moment où la période d’engagement de 6, 9 ou 12 ans est expirée ou si vous justifiez d’un cas de force majeure. En dehors de ces cas, la revente sera soumise à des pénalités.

https://youtu.be/f5HsTJ6DzsM
Pinel : à quel moment peut-on revendre l’investissement locatif ?
Sommaire
On peut revendre son investissement après la période d’engagement
Investir en Pinel : les cas qui permettent de revendre
Que se passe-t-il en cas de revente avant la durée d’engagement ?
Lors de la revente, pensez à la taxe sur la plus-value
On peut revendre son investissement après la période d’engagement
Si vous avez acquis un logement que vous louez à travers le dispositif Pinel, il est tout à fait possible de le revendre à terme. Cette possibilité est cependant soumise à des conditions.

En premier lieu, vous avez dû vous engager pour une certaine durée de mise en location, puisqu’il s’agit d’une condition absolue pour bénéficier des avantages fiscaux associés au dispositif Pinel. Cette durée peut être de 6, 9 ou 12 ans, à l’issue de laquelle vous pouvez revendre le logement tout en conservant les avantages fiscaux afférents, à savoir une réduction d’impôt de 12, 18 ou 21 %.

En second lieu, vous ne devez pas avoir déclaré de déficit foncier depuis au moins 3 ans.

Investir en Pinel : les cas qui permettent de revendre
Il est également possible de revendre votre investissement locatif avant la durée d’engagement minimale obligatoire et sans pénalité, à condition de justifier d’un cas de force majeure autorisé par la loi :

Le décès du propriétaire.
Un accident ou une maladie entraînant une invalidité du propriétaire.
Le licenciement du propriétaire.
BON À SAVOIR
Le divorce du propriétaire n’est pas considéré comme un cas de force majeure permettant de revendre l’investissement locatif de façon anticipée et sans pénalité.

Que se passe-t-il en cas de revente avant la durée d’engagement ?
Dans l’absolu, il est toujours possible de revendre votre investissement locatif avant la fin de la durée minimale d’engagement ou en dehors d’un cas de force majeure. En revanche, cela implique de renoncer aux avantages fiscaux dont vous avez bénéficié tout au long de la détention du bien. Concrètement, en revendant le logement de façon anticipée, vous devez rembourser le montant des abattements d’impôts dont vous avez bénéficié à l’administration fiscale, ce qui peut représenter une somme conséquente. Il est donc déconseillé de revendre un investissement locatif Pinel avant la fin de la période minimale de mise en location, afin de ne pas être pénalisé(e).

Lors de la revente, pensez à la taxe sur la plus-value
Quel que soit le moment où vous décidez de revendre votre investissement locatif, cette vente sera soumise à l’impôt sur les plus-values immobilières. Cela signifie que si le prix auquel vous revendez le bien est supérieur à celui auquel vous l’avez acquis, la différence entre les deux montants sera taxée à hauteur de 19 % au titre de l’impôt sur le revenu, et 15 % au titre des prélèvements sociaux.

Ce n’est qu’à partir de la 6e année de détention du bien que ces deux taxes deviennent dégressives, et vous serez totalement exonéré(e) de l’impôt sur les plus-values immobilières à l’issue d’une période de 22 ans pour l’impôt sur le revenu, et 30 pour les prélèvements sociaux.

BON À SAVOIR
Pour calculer la plus-value, le prix d’acquisition est majoré des frais de notaire, des commissions versées aux intermédiaires et des dépenses pour travaux.

Article de : https://edito.seloger.com/conseils-d-experts/investir/pinel-on-revendre-un-investissement-locatif-article-39199.html

Bonne nouvelle, les taux de crédit immobilier continuent de baisser !

Si les conditions d’emprunt se sont durcies depuis quelques mois, les taux de crédit immobilier restent attractifs. Ils ont même baissé légèrement au cours du troisième trimestre 2020. Une bonne nouvelle pour les acquéreurs.

https://www.youtube.com/watch?v=r6veaEklxTM

 

Les taux des crédits immobiliers baissent légèrement : 0,1 % en moyenne

Si, à la sortie du confinement, les banques avaient augmenté les taux des nouveaux crédits accordés pour limiter les conséquences de la crise sanitaire sur leurs équilibres financiers, elles semblent s’être ravisées depuis. Dès le mois de juillet, elles ont révisé leurs barèmes à la baisse pour soutenir la demande de crédits immobiliers sur des marchés toujours à la peine, en dépit du rebond « technique » constaté avec la sortie de la période de confinement, qui a bloqué de nombreuses opérations. Cette légère baisse des taux d’emprunt s’est poursuivie en août et à la rentrée. En moyenne, les taux ont atteint 1,23 % au 3e trimestre, contre 1,24 % au 2e trimestre, selon L’Observatoire Crédit Logement-CSA. En septembre, ils se sont établis à 1,22 % en moyenne, contre 1,23 % en août. Dans le détail, le taux moyen a atteint 1,02 % sur 15 ans, 1,19 % sur 20 ans et 1,46 % sur 25 ans, contre respectivement 1,09 %, 1,27 % et 1,52 % en juin dernier.

 

Les taux des prêts immobiliers en septembre 2020

Durées d’emprunt Taux moyen
15 ans 1,02 %
20 ans 1,19 %
25 ans 1,46 %

 

Après une hausse post-confinement, les durées d’emprunt se réduisent

La durée moyenne des prêts immobiliers a diminué au cours du 3e trimestre 2020, pour s’établir à 227 mois. Elle s’était accrue de près de 4 mois durant le confinement, pour atteindre 231 mois au 2e trimestre. Cet allongement des durées avait permis d’amortir les conséquences de la remontée des taux des crédits et de la hausse des prix des logements. Depuis, les taux sont de nouveau à la baisse, ce qui entraîne un recul de la durée moyenne des emprunts, même si elle reste actuellement sur des valeurs élevées, déjà constatées avant le confinement. Sur le marché de l’accession, 50,6 % des prêts ont une durée inférieure ou égale à 20 ans (50 % au 2e trimestre) et 48,6 % une durée de 20 ans à 25 ans. Seuls 0,8 % des prêts accordés ont une durée supérieure à 25 ans.

 

Difficile d’emprunter pour les ménages modestes

Si les taux de crédit immobilier baissent légèrement et restent donc très attractifs, il est de plus en plus difficile d’emprunter pour les ménages les plus modestes, en raison du durcissement des conditions d’octroi, dû à la crise sanitaire et aux recommandations des autorités financières. Ainsi, le coût des opérations financées a progressé de 4,8 % sur les 9 premiers mois de 2020. Dans le même temps, le revenu des personnes ayant accès au crédit a augmenté de 2,8 % et le niveau de leur apport personnel de 7,9 %. Au troisième trimestre, les banques ont diminué le nombre total de prêts immobiliers de près de 8 % par rapport à la même période un an plus tôt, et ce sont les moins aisés qui en font largement les frais, en particulier les primo-accédants.

CHIFFRES CLÉS

Au 3e trimestre 2020, le taux moyen atteint respectivement 1,29 % sur le marché du neuf et 1,25 % dans l’ancien.

Article de : https://edito.seloger.com/actualites/france/bonne-nouvelle-taux-de-credit-immobilier-continuent-de-baisser-article-39856.html

Nice, Agde et Narbonne remportent le critère «Vie sociale» de notre palmarès des villes où il fait bon prendre sa retraite.

De gauche à droite: Nice, Agde et Narbonne.

INFOGRAPHIES – Nice, Agde et Narbonne remportent le critère «Vie sociale» de notre palmarès des villes où il fait bon prendre sa retraite. Commerces, activités sportives et culturelles découvrez le dernier volet de notre enquête.

 Une belle vie sociale quand on a le temps d’en profiter en tant que retraité (et que l’absence de distanciation le permet), c’est important. Ce dernier critère de notre palmarès des villes où il fait bon prendre sa retraite consacre trois villes de format différent: Nice (catégorie + de 100.000 habitants), Agde (moins de 50.000 habitants) et Narbonne (50.000 à 100.000 habitants) qui sont par ailleurs assez peu présentes dans nos différents classements, en dehors de Narbonne, 4e au classement général. Rendons-leur hommage pour leur aptitude à incarner un certain art de vivre à la française mêlant activité culturelle, bonne présence de commerces, services et espaces verts ainsi que des activités sportives et de loisirs.

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Dans le détail, les très grandes villes, dont notre championne Nice, sont favorisées pour la présence de commerce et occupent systématiquement les premières places mais Cannes (75.000 habitants) tire bien son épingle du jeu, tout comme Béziers et Antibes. Agde réussit quasiment à se placer dans le top 10 pour la présence de restaurants, grâce à son statut touristique. Narbonne, de son côté, peut se targuer d’être l’une des villes de notre classement à détenir la plus grande proportion d’espaces verts (88%, 3e place) derrière l’inaccessible Arles (94%). Petite curiosité: si les amateurs de boules ne s’étonnent de voir que c’est à Marseille qu’ils trouveront le plus de boulodromes (78), le numéro deux est plus surprenant: Saint-Étienne qui dépasse assez largement Cannes (69 à 51).

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Le match des cités les plus cinéphiles est lui aussi surprenant: Vannes (7,9 films vus par an et par habitant) l’emporte devant Caen (7,8 films) et Béziers (7,6 films). Narbonne se classe non loin du podium avec 7,2 films (5e place). Et pour les retraités sportifs, amateurs de tennis notamment, Nice est encore sur le podium avec ses 88 courts (3e place) mais Agde décroche une honorable 13e place (45 terrains) au vu de sa petite taille. Quant à ceux qui préfèrent les activités plus paisibles, ils pourront faire le plein d’associations de jeu de cartes à Marseille (30) mais aussi à Nice et au Mans (22 clubs). Les Sables d’Olonnes manquent d’une marche le Top 5 avec tout de même 13 associations.

article de : https://immobilier.lefigaro.fr/article/palmares-retraites-2020-ces-villes-qui-proposent-la-meilleure-vie-sociale_4c9391ce-0d52-11eb-ac2a-a59351ff39c8/