Assurance emprunteur

Fait-on des économies en changeant d’assurance-emprunteur ?

Vrai/faux : fait-on des économies en changeant d’assurance-emprunteur ?

La loi vous permet désormais de résilier votre assurance-emprunteur au-delà d’un après la souscription d’un crédit immobilier.

Il est désormais possible de changer d’assurance emprunteur au-delà la première année du prêt.

Vrai. Depuis le 1er janvier dernier, la loi vous permet de changer d’assurance-emprunteur à chaque date anniversaire du contrat, et non plus seulement la première année comme c’était le cas depuis 2014. La nouvelle assurance choisie doit seulement présenter le même niveau de garantie que celle de votre banque. Si c’est le bien le cas, celle-ci ne pourra ni refuser la substitution d’assurance, ni vous la facturer. Votre crédit immobilier restent par ailleurs inchangées. Tout refus de substitution de la part de la banque doit être motivé.

Les garanties offertes par l’assurance concurrente choisie doivent être identiques.

Faux. Garanties équivalentes ne veut pas dire identiques, rappelle le comité consultatif du secteur financier (CCSF). Concrètement, votre banque devra vous fournir une liste de 11 critères maximum sur une liste de 18 (par exemple la couverture de la garantie décès durant toute la durée du prêt, la prise en charge de l’invalidité partielle à partir de 33%…) que le contrat alternatif devra obligatoirement remplir. Ces critères figurent sur la fiche standardisée d’information que votre banque a l’obligation de vous remettre en amont de son offre de prêt. À vous de relayer ces critères auprès de l’assureur que vous envisagez de rejoindre pour qu’il vous fasse une offre adaptée.

Seuls les plus jeunes ont intérêt à changer d’assurance.

Faux. Les clients les plus jeunes, en bonne santé et non fumeurs sont ceux qui ont en théorie le plus intérêt à changer d’assurance-emprunteur. «Plus la durée du prêt restante est longue, plus la somme empruntée est importante, plus l’économie réalisée sera par ailleurs élevée», précise Roger Mainguy, directeur général d’April santé prévoyance. Un cadre non-fumeur de 27 ans ayant emprunté 200 000 euros sur 25 ans pourrait ainsi économiser 17 000 euros en substituant une assurance-emprunteur alternative à une assurance bancaire, calcule le cabinet spécialisé BAO.

Mais cela ne veut pas dire qu’un senior n’y trouvera pas son compte. «L’économie réalisée sera sans aucun doute moins importante, peut-être même inexistante, mais il pourra probablement trouver un contrat lui offrant une meilleure couverture. Les contrats les moins chers sont paradoxalement souvent ceux qui offrent les meilleures garanties!», constate Isabelle Tourniaire, responsable des études chez BAO. Autre type de population ayant tout intérêt à faire jouer la concurrence: les personnes ayant été malades et désormais guéries, ou encore les fumeurs ayant mis fin à cette habitude.

Les banques sont systématiquement plus chères.

Faux. Si les marges des banques étaient jusqu’à récemment de l’ordre de 40% à 50% sur l’assurance-emprunteur, elles font désormais de gros efforts pour retenir leurs clients tentés par la concurrence. «Elles font de plus en plus souvent une contre-offre compétitive, et sont même particulièrement agressives si les clients menacent de changer à la fois d’assurance-emprunteur et d’assurance-auto», constate Hamid Benamara, directeur du comparateur lesfurets.com.

La démarche de substitution est compliquée.

Pas tout à fait faux. Pour changer d’assurance-emprunteur, vous devrez envoyer à l’assureur que vous souhaitez quitter une lettre de résiliation au moins deux mois avant la date d’échéance du contrat. Il faudra également informer la banque prêteuse, qui a de son côté à dix jours pour accepter ou refuser le changement d’assurance, et faire un avenant à votre crédit. Mais cette démarche ne se passe pas toujours sans anicroche. «Rares sont les contrats d’assurance qui mentionnent une date anniversaire. Dans ce cas, le plus simple est de résilier sans mention d’une date précise. Si la banque émet une objection, il sera alors possible de lui demander la preuve de la date d’anniversaire indiquée», explique Isabelle Tourniaire.

L’assurance coûte parfois presque aussi cher que le crédit.

Vrai. C’est particulièrement vrai en période de taux bas. Une personne de 41 ans empruntant 150 000 euros sur 19 ans paiera en moyenne 21 350 euros d’assurance sur toute la durée de son crédit, contre 22 596 euros d’intérêts d’emprunt, a calculé BAO. Les mensualités de l’assurance peuvent cependant être variables au cours du prêt, selon le mode de calcul adopté par l’assureur. Certains, notamment parmi les alternatifs, calculent en effet l’assurance sur le capital restant dû. Dans ce cas, la mensualité est plus importante en début de prêt qu’à la fin. «Le coût total de l’assurance peut alors être plus faible, mais cela n’est intéressant que si l’emprunteur envisage de conserver son bien un certain temps», avertit Roger Mainguy, d’April.

Article de : http://immobilier.lefigaro.fr/article/vrai-faux-fait-on-des-economies-en-changeant-d-assurance-emprunteur-_6a855166-28ff-11e8-a155-9eab006934e7/

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Les frais de notaire n’augmenteront pas !

Les frais de notaire n’augmenteront pas jusqu’en 2020 !

Les tarifs réglementés des notaires, ou émoluments, vont rester inchangés jusqu’en février 2020.

Bon à savoir

La rémunération du notaire (honoraires) ne représente que 10 % du montant des droits de mutation.

Notaires : les tarifs réglementés stables pour les 2 prochaines années

Lors d’un achat immobilier, les droits de mutation, aussi appelés « frais de notaire », sont obligatoires et souvent redoutés par les acquéreurs. Mais, bonne nouvelle, un arrêté publié au Journal officiel du 28 février 2018, indique que les tarifs réglementés des notaires (aussi appelés émoluments) resteront stables au moins jusqu’au 29 février 2020. Pour rappel, les tarifs réglementés s’appliquent aux principales prestations réalisées par les notaires : vente immobilière, constitution d’hypothèque, donation, contrat de mariage, partage, acte de notoriété successorale, déclaration de succession, etc. Selon le type de prestations, les émoluments sont fixes (pacs, donation entre époux, notoriété après décès…) ou proportionnels (déclaration de succession…). Notons que, dans le cadre d’un achat immobilier, les frais d’acte de vente (couramment appelés « frais de notaire »), dont doivent obligatoirement s’acquitter les acquéreurs, représentent 2 à 3 % du prix de vente dans le neuf, et 7 à 8 % dans l’ancien.

Bon à savoir

Le montant des droits de mutation (frais de notaire) est identique quel que soit le notaire choisi.

Frais d’acte appelés à tord frais de notaire : à quoi correspondent-ils ?

Les frais de notaire correspondent à l’ensemble des sommes versées au notaire à l’occasion d’une prestation. Ils se répartissent donc entre les émoluments (somme perçue par le notaire en contrepartie d’une prestation dont le tarif est réglementé), les débours ou déboursés (sommes que le notaire paye pour le compte du client, pour la réalisation d’une prestation), les honoraires (sommes perçues par le notaire en contrepartie d’une prestation dont le montant n’est pas réglementé), ainsi que les droits et taxes (destinés à l’État et aux collectivités territoriales). Les taxes représentent environ 80 % du montant total des frais de notaire. De leur côté, les déboursés constituent 10 % du coût total. Enfin, la rémunération du notaire ne représente que 10 % des droits de mutation. Quelle que soit la prestation effectuée, le notaire doit indiquer à l’avance le montant estimé des frais à régler. Une fois la prestation accomplie, il doit remettre un document détaillé précisant les montants respectifs des frais engagés.

Article de : http://edito.seloger.com/actualites/france/les-frais-de-notaire-n-augmenteront-pas-jusqu-en-2020-article-24812.html

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Les 8 étapes indispensables pour faire construire votre maison !

Les 8 étapes indispensables pour faire construire votre future maison individuelle !

C’est parti, vous avez décidé de faire construire votre maison. Mais que vous optiez pour l’auto-construction ou que vous confiez votre projet à un constructeur, de nombreuses étapes restent à franchir avant de recevoir les clés de votre nouveau nid douillet.

1- Le choix du terrain est primordial

Le choix de l’emplacement de votre terrain est primordial. C’est lui qui déterminera votre qualité de vie (proximité des écoles, commerces, transports, espaces verts, etc.) et la valeur de votre logement. Ces deux critères doivent impérativement être pris en compte dans l’optique d’une future revente. Le choix du terrain aura des incidences sur l’implantation de la maison et les plans. Nous vous conseillons donc de prendre le temps d’analyser tous les avantages et inconvénients du terrain et de veiller à la qualité du sol. N’hésitez pas à demander le Certificat d’Urbanisme du terrain auprès de la Mairie, qui le délivre gratuitement dans un délai maximum de 2 mois. Pour trouver le terrain idéal, n’hésitez pas à éplucher les annonces, que ce soit sur Internet (pensez à Construire !), chez les notaires ou encore dans les agences immobilières.

Bon à savoir

Comptez entre 5 000 € et 15 000 € pour viabiliser un terrain.

2- L’étude préalable : une étape à ne pas négliger

Même si elle n’est pas obligatoire, l’étude du terrain et du sol est fortement recommandée, afin de vous assurer que votre future maison ne risque pas de s’affaisser. Le schéma d’implantation permet notamment de définir l’emprise au sol de la future construction en fonction du relief, des limites de propriété ou encore des réseaux d’eau ou d’électricité. Ces critères doivent impérativement respecter le PLU (Plan Local d’Urbanisme), qui définit le COS (Coefficient d’Occupation des Sols) de chaque parcelle du cadastre. A noter que certains constructeurs de maisons individuelles réclament cette étude car leur assurance professionnelle les y oblige. Par la suite, l’étude des caractéristiques de la construction aura pour objectif de vérifier que la maison respecte les codes d’urbanismes locaux, ainsi que les différentes normes en vigueur.

Bon à savoir

Lors de l’achat du terrain, un ESRIS (État des servitudes « risques » et d’information sur les sols) est obligatoirement remis.

3- Le financement de votre projet

La construction d’une maison nécessite un capital de départ auquel s’ajoute généralement un crédit immobilier. Il faut compter 10 % d’apport personnel minimum et 33 % de taux d’endettement maximum. Pour financer votre projet, vous pouvez vous adresser à votre banque, à un courtier en crédit immobilier ou encore à votre constructeur. Au moment de demander un emprunt, un bon dossier repose notamment sur un emploi stable et l’absence de découvert. Gardez à l’esprit que la construction d’une maison individuelle coûte généralement plus cher que prévu. En effet, des frais viennent s’ajouter, comme les assurances, le bornage du terrain, l’évacuation des terres excédentaires ou encore le raccordement au réseau électrique si la parcelle choisie est éloignée du centre-ville.

4- Le choix du constructeur pour construire votre maison

Si vous n’avez pas opté pour l’auto-construction, vous allez devoir trouver un constructeur pour réaliser votre projet. Il est fortement conseillé de faire appel à un constructeur affilié à un syndicat professionnel tel que la LCA-FFB (Constructeurs et Aménageurs de la Fédération Française du Bâtiment) ou la FFACB (Groupements et Coopératives d’Artisans du Bâtiment), dont les travaux sont réglementés par le Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI). Cela vous garantit une sécurité sur le prix (ferme et définitif) et la réalisation (délai convenu). A noter que la souscription de l’assurance Dommages-Ouvrage est obligatoire. Concernant le contrat en lui-même, vous disposez d’un délai de rétractation de 10 jours à compter du lendemain de la 1ère présentation du contrat, envoyé en lettre recommandée avec accusé de réception.

Chiffre clé

Pour financer votre projet, 10 % d’apport personnel minimum et 33 % de taux d’endettement maximum sont nécessaires.

5- L’obtention du permis de construire

Si vous faîtes appel à un constructeur, c’est lui qui se chargera d’effectuer les démarches nécessaires à la délivrance du permis de construire. Dans le cas contraire, ce sera à vous de vous en occuper. Pour cela, vous devrez déposer un dossier complet comprenant de nombreux documents (plan du terrain, plan de masse, plan en coupe du terrain et de la construction, etc.). Sachez que vous ne pourrez pas entamer le chantier avant l’obtention du permis de construire. Une fois obtenu, veillez à ce que le permis de construire soit affiché très visiblement sur le terrain, et ce pendant toute la durée du chantier, afin de respecter l’Article R.424-15 du Code de l’Urbanisme. De plus, l’affichage du permis sur le chantier conditionne le départ du délai de 2 mois durant lequel doit s’exercer le recours éventuel d’un tiers ayant intérêt à agir.

6- Les visites de chantier

Des visites de chantier sont organisées avec votre constructeur à quelques moments clés de votre projet. Ces visites vous permettront de vérifier que le planning de construction préalablement établi est bien respecté ou de constater d’éventuelles malfaçons. Si vous souhaitez visiter davantage le chantier de votre maison, il est conseillé d’en faire la demande au constructeur. N’hésitez pas à prendre des photos au cours de vos différentes visites : certains défauts peuvent ne pas être constatés à première vue. Dans le cas où vous estimez que le constructeur ne respecte pas les délais prévus, sachez que le contrat CCMI (Contrat de Construction de Maison Individuelle) vous protège. Des pénalités seront dues par le constructeur, en fonction de l’ampleur du retard. Vous serez également protégé en cas de malfaçons constatées.

Architecture : des règles à respecter

Il est possible que l’architecture soit limitée par la commune à certains styles de construction ou que le nombre d’étages, la hauteur ou encore le type de toiture soient encadrés.

7- La réception des travaux

La réception des travaux s’effectue à l’achèvement de la construction. C’est le moment où vous devrez vérifier que la maison livrée est conforme à ce qui était prévu. Vous avez le choix d’être assisté par un professionnel. Si vous décidez de réceptionner les travaux seul, la loi vous accorde un délai supplémentaire de 8 jours pour émettre des réserves : une retenue de garantie de 5 % du prix pourrait s’appliquer jusqu’à ce que les réserves émises soient levées. La réception est formalisée par un procès-verbal de réception qui acte le transfert de garde. Par la suite, la DAT (Déclaration d’achèvement des travaux) est à adresser par vos soins à la Mairie dans les 8 jours qui suivent la clôture du chantier. Ce document sert à préparer le certificat de conformité qui vous sera adressé par la municipalité dans les 3 mois suivant la réception de la DAT.

Construction : les garanties qui vous protègent

La remise des clés constitue le point de départ des délais au cours desquels les différentes garanties prévues au CCMI (Contrat de Construction de Maison Individuelle) pourront être actionnées.

8- Et après les travaux ?

Pour être plus serein après la livraison, informez-vous sur les garanties et assurances proposées. En plus de la garantie « dommages-ouvrage », 3 garanties essentielles sont prévues par le Contrat de Construction de Maison Individuelle : la garantie décennale, la garantie de parfait achèvement et la garantie biennale. La première, qui dure 10 ans à compter de la réception des travaux, oblige le constructeur à faire réparer tous les dommages qui compromettraient la solidité de la maison et de sa structure, ou la rendraient inhabitable. La seconde oblige le constructeur à réparer toutes les malfaçons survenues au cours de l’année suivant la réception des travaux. La troisième impose de procéder au remplacement de tout équipement défectueux au cours des 2 années qui suivent la réception des travaux.

Article de : http://edito.construire.seloger.com/construction/maitriser-votre-projet/les-8-etapes-indispensables-pour-faire-construire-votre-future-maison-individuelle-article-24092.html

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Logement « Airbnb », êtes-vous obligé de déclarer en mairie ?

Vous louez un logement en « Airbnb », êtes-vous obligé de vous déclarer en mairie ?

Depuis le 28 avril 2017, le Décret « Airbnb » permet aux villes de plus de 200 000 habitants d’instaurer un système d’enregistrement des propriétaires qui louent leur logement de façon temporaire.

Avant de louer en « Airbnb », renseignez-vous auprès de votre mairie

Les personnes proposant de louer, pour une durée très courte, un local d’habitation, une partie de logement, sur un site de type « Airbnb », ne peuvent le faire plus de 120 fois par an. L’objectif de ce texte est donc d’obliger les hébergeurs à faire une déclaration spécifique pour chaque local d’habitation proposé à la micro-location, auprès de la Mairie ou de l’Intercommunalité où se situe le logement. Cette demande attribue un numéro d’enregistrement par local d’habitation déclaré. Il est vivement conseillé d’indiquer, au moment de la mise en ligne de l’offre de micro-location, le numéro d’enregistrement du local d’habitation.

Bon à savoir

  • Si vous vivez dans une commune qui compte plus de 200 000 habitants, contacter ses services pour vérifier les modalités pour effectuer votre déclaration.
  • Si vous vivez dans une commune qui compte moins de 200 000 habitants, contacter ses services pour vérifier qu’un système déclaratif similaire n’a pas été instauré.

Que se passe-t-il si vous dépassez la limite de 120 nuits louées par an ?

Une fois dépassé, ce seuil de 120 nuits par an, l’hôte peut être condamné à une amende civile ne pouvant pas dépasser 50 000€. Sachez également que si le local loué est votre résidence principale, l’autorisation n’est pas nécessaire pour louer sur « Airbnb ».

Article de : http://edito.seloger.com/conseils-d-experts/louer/vous-louez-un-logement-en-airbnb-etes-vous-oblige-de-vous-declarer-en-mairie-article-24446.html

Acheter vendre viager

Le viager, est-ce vraiment intéressant ?

Vendre ou acheter un logement en viager ?

Avec le vieillissement de la population, le viager est devenu un enjeu fondamental de notre société. Mais quels sont les avantages de ce dispositif méconnu pour les vendeurs et les acheteurs immobiliers ?

Le viager, c’est quoi exactement ?

Même si la plupart des Français connaissent le principe global du viager, ses subtilités et son intérêt pour les vendeurs et les acquéreurs sont plutôt méconnus. Pourtant, ce dispositif revêt un véritable intérêt social et tend à se démocratiser. L’achat en viager consiste à verser une rente à vie au vendeur « crédirentier ». Le montant global de cette rente est calculé selon la valeur du logement et l’espérance de vie du vendeur, et peut se décliner en 2 parties : un capital (le « bouquet »), payé le jour de la vente notariée, et une rente viagère, qui sera versée par l’acheteur « débirentier » pendant toute la vie du vendeur. Ce dernier est donc assuré de percevoir un revenu jusqu’à son décès. Ainsi, le viager est un contrat « aléatoire » puisque la durée de vie du vendeur est inconnue. Cet aléa constitue un élément indispensable du contrat.

Bon à savoir

L’achat en viager permet de se constituer un patrimoine à un prix réduit, sans recours au crédit bancaire et avec une pression fiscale réduite.

Acheter un bien immobilier : quel est l’intérêt du viager ?

Selon Viagimmo, réseau national d’agences spécialistes du viager, alors que l’accession à la propriété est jugée de plus en plus difficile pour les Français (hausse des prix immobiliers, baisse du pouvoir d’achat, etc.), l’achat en viager est une solution idéale pour se constituer un patrimoine et sécuriser son avenir. En effet, dans le cadre d’un achat en viager occupé (95 % des cas), le prix de vente tient compte de l’occupation du logement par le vendeur. Cette décote d’occupation permet d’acheter à prix réduit tout en évitant le recours à un emprunt bancaire. L’acquéreur évite ainsi l’ensemble des coûts du crédit et peut donc se constituer un patrimoine immobilier progressivement dans le temps, en évitant une pression fiscale importante, d’éventuels impayés de loyer, des vacances locatives, ou des dégradations.

Le viager : avantages et inconvénients

Chiffres clés

Les viagers occupés représentent 95 % des achats des logements en viager.

Vendre en viager : un revenu complémentaire pour votre retraite

Le viager offre aux séniors la possibilité de rester chez eux et de conserver une bonne qualité de viepour leurs vieux jours, tout en disposant de revenus complémentaires. Pour ceux qui souhaitent profiter du confort des résidences médicalisées, la solution de la vente en viager libre (l’acheteur peut occuper ou louer le logement) est tout autant attractive. La rente versée à vie peut leur permettre de financer sereinement leur hébergement en maison médicalisée. La vente en viager permet aux séniors de bénéficier d’une pression fiscale atténuée. Le vendeur n’a à sa charge que la taxe d’habitation, la taxe foncière étant à la charge de l’acquéreur. Pour les impôts sur le revenu, le vendeur bénéfice d’un abattement substantiel sur la rente viagère selon son âge : 50 % s’il est âgé de 50 à 59 ans, 40 % de 60 à 69 ans et 30 % s’il est âgé de plus de 69 ans.

Viager : une fiscalité avantageuse

Pour les acheteurs en viager, les frais de mutation (frais de notaire) sont souvent divisés par deux, tandis que du côté des vendeurs, le dispositif leur permet de donner de leur vivant et ainsi d’éviter les frais de succession imputables à leurs descendants.

Achat français propriétaire

Tous les Français rêvent d’acheter leur maison !

Salariés, demandeurs d’emploi… tous les Français rêvent d’acheter leur maison !

La belle histoire entre les Français et la pierre est loin d’être terminée : 82 % des demandeurs d’emploi et 65 % des salariés veulent devenir propriétaires de leur logement, avec une nette préférence pour les maisons individuelles.

Tout le monde dit oui à « la propriété » !

D’après les résultats d’un sondage réalisé conjointement par la plate-forme de recrutement Qapa.fr et le site d’annonces immobilières Bien’ici, les attentes des Français en matière d’immobilier changent fortement en fonction du statut professionnel… mais pas dans le sens toujours attendu. Si la grande majorité des Français affirment vouloir devenir propriétaires, on peut constater que ce souhait est sensiblement plus marqué chez les demandeurs d’emploi (82 %) que chez les salariés (65 %). Stéphanie Delestre, fondatrice de Qapa.fr, déclare que « les demandeurs d’emploi semblent conserver le moral et continuent, bien heureusement, à envisager, malgré tout, leurs projets immobiliers. Une notion que les salariés semblent, paradoxalement, avoir réévalué à la baisse ».

L’importance du trajet domicile-travail

44 % des salariés veulent mettre moins de 15 minutes pour aller de leur domicile à leur travail.

Achat immobilier : la maison est préférée à l’appartement

La maison reste de loin le bien le plus recherché par les Français, qu’ils soient demandeurs d’emploi (79 %) ou salariés (59 %). D’autre part, on peut constater que l’immobilier ancien a toujours la cote, puisqu’il est préféré à l’immobilier neuf par 51 % des salariés et 74 % des demandeurs d’emploi. L’acquisition d’un bien dans une grande agglomération est privilégié par les salariés (35 %) et les demandeurs d’emploi (45 %). En deuxième position arrive la périphérie des grandes villes (30 % des salariés et 38 % des chômeurs), suivie par les petits villages (29 % et 15 %). Enfin, l’achat d’un logement en « rase campagne » n’intéresse que 6 % des salariés et 2 % des chômeurs. Pour ce qui est des régions dont rêvent les Français, deux choix se distinguent clairement : les salariés sont plus de 18 % à préférer la région Auvergne-Rhône-Alpes, tandis que les demandeurs d’emploi sont 24 % à « rêver » de l’Île-de-France.

L’ancien a toujours la cote !

L’immobilier ancien est toujours le marché privilégié par les acquéreurs, quelle que soit leur activité.

Article de : http://edito.seloger.com/actualites/france/salaries-demandeurs-d-emploi-tous-les-francais-revent-d-acheter-leur-maison-article-24485.html

recours_permis_construire

Que faire en cas de recours abusif contre un permis de construire ?

Vous vous estimez victime d’un recours abusif ou infondé de la part d’un voisin contre votre permis de construire. Vous disposez d’un recours auprès du juge administratif.

Le juge administratif est compétent pour les recours abusifs

Lorsque le recours contre un permis de construire dépasse la protection des intérêts légitimes du requérant et qu’il cause un préjudice excessif au bénéficiaire du permis, ce dernier peut demander au juge administratif saisi du recours de condamner son auteur à lui allouer des dommages et intérêts.

Bon à savoir

La demande de recours peut être présentée pour la première fois en appel par un mémoire distinct.

Le caractère abusif du recours reste soumis à l’appréciation des juges

Pour établir le caractère abusif du recours contre le permis de construire, le juge étudie l’intérêt à agir des requérants (la proximité du requérant avec la construction faisant l’objet du permis) et la qualité des moyens invoqués (l’existence d’un préjudice réel et sérieux du fait de la construction prévue pouvant rendre illégal le permis de construire). Sachez qu’il est obligatoire de saisir le tribunal administratif par le biais d’un avocat.

Bon à savoir

Pour que le juge puisse calculer le montant de votre préjudice résultant d’un recours abusif contre votre permis de construire, vous devez lui fournir des estimations réalistes et précises des surcoûts provoqués par le recours abusif et l’instance.

Le permis de construire, une démarche simple mais très réglementée

Le permis de construire, une démarche simple mais très réglementée

Références juridiques

  • Article L600-7 du Code de l’urbanisme
  • Ordonnance n° 2013-638 du 18 juillet 2013 relative au contentieux de l’urbanisme
  • TA Lyon, 17 novembre 2015, n° 1303301
  • TA Bordeaux, 16 avril 2015, n° 1403072

Article de : http://edito.construire.seloger.com/conseils-d-experts/reglementations/que-faire-en-cas-de-recours-abusif-contre-un-permis-de-construire-article-24011.html

energies renouvelables

35 % des Français utilisent une énergie renouvelable

Que ce soit par simple conscience écologique ou pour faire des économies, les énergies renouvelables sont de plus en plus plébiscitées par les Français : 27 % ont l’intention de s’en équiper en 2018.

Plus de 9 Français sur 10 font confiance aux énergies renouvelables

Selon une étude menée par OpinionWay pour Qualit’EnR, association pour la qualité des énergies renouvelables, ces dernières sont bien connues des Français. Ils sont même 96 % à faire confiance à au moins une énergie renouvelable, pompe à chaleur et solaire thermique en tête (respectivement 81 % et 80 %). De plus, 35 % des Français déclarent qu’ils disposent dans leur résidence principale d’au moins un équipement utilisant des énergies renouvelables (+ 3 points sur 1 an), même si des écarts subsistent entre propriétaires (47 %) et locataires (10 %). Les personnes habitant une maisonsont beaucoup plus équipées (58 % des propriétaires et 24 % des locataires) que celles qui vivent en appartement (8 % des propriétaires et 4 % des locataires). Du côté des équipements possédés, les inserts bois arrivent en tête (13 %), suivis des poêles à bois (13 %) et des pompes à chaleur (9 %).

Français Confiance Energies Renouvelables
 Les Français font confiance à l’énergie solaire. © OpinionWay-Qualit’EnR

Energies renouvelables : 27 % des Français ont l’intention de s’équiper

Après avoir baissé en 2017, la part de Français ayant l’intention de s’équiper en énergies renouvelables repart à la hausse (27 %, + 5 points). Les équipements les plus plébiscités sont les panneaux photovoltaïques (14 %, + 4 points), les chauffe-eau solaires (13 %, + 3 points), les systèmes solaires combinés chauffage/eau chaude (13 %, + 5 points), et les pompes à chaleur (10 %). Dans l’hypothèse où ils produiraient de l’électricité grâce à des panneaux photovoltaïques, 88 % favoriseraient l’autoconsommation et seuls 10 % opteraient pour la vente de toute leur production. En revanche, les Français chercheraient de plus en plus des façons alternatives de gérer les excédents de production. Ainsi, 57 % les vendraient sur le réseau tandis que 21 % les vendraient ou les échangeraient avec d’autres consommateurs locaux. Enfin 10 % choisiraient de les offrir à des associations caritatives ou à Rénovation énergétique : les Français connaissent les aides de l’Etat

4 Français sur 5 estiment que leur facture en énergie est élevée

Alors que 4 Français sur 5 estiment que leur facture en énergie est élevée, équiper son logement en énergie renouvelable est considéré comme l’investissement financier le plus pertinent en 2018 (68 %), notamment chez les jeunes des moins de 35 ans (71 %). Au-delà de l’aspect environnemental (88 %), le choix d’une énergie renouvelable est motivé par la recherche de l’indépendance énergétique (85 %), du bien-être (85 %), et la perspective de réaliser des économies (74 %). Afin de faire baisser le montant de leurs factures, 84 % des Français profiteraient d’éventuels travaux de rénovation énergétique pour choisir des équipements en énergie renouvelable. Les aides qui peuvent être sollicitées sont assez largement connues des Français : ils sont 65 % à connaître le crédit d’impôt, 59 % le PTZ et 35 % les aides régionales. Néanmoins, 30 % des Français déclarent ne connaitre aucune de ces aides.

Français Equipés Energies Renouvelables
Les inserts et poêles à bois sont les équipements les plus installés. © OpinionWay-Qualit’EnR

Energies renouvelables : les Français favorables à leur développement

Les Français souhaitent voir se déployer les énergies renouvelables, en particulier le solaire thermique (90 %), le photovoltaïque (82 %), et les pompes à chaleur (82 %).

Article de : http://edito.seloger.com/actualites/france/chauffage-electricite-35-des-francais-utilisent-une-energie-renouvelable-article-24209.html

acheter avant de vendre

Acheter avant de vendre son logement ou vendre avant d’acheter ?

Vous voulez vendre votre logement et en acheter un autre mais vous ne savez pas dans quel sens vous y prendre. Pour vous aider à y voir plus clair, SeLoger vous donne les avantages et les inconvénients de chaque solution.

Avant toute chose, définissez bien votre projet immobilier

Avant toute démarche, il convient de définir son projet en se posant les bonnes questions. Le but est notamment de réfléchir au financement de la nouvelle acquisition. Le nouveau logement recherché coûtera-t-il plus cher que l’ancien, en tenant compte des frais de notaire ? Attention à penser également aux éventuels frais de rénovation. Si le nouveau logement est plus cher, la différence pourra-t-elle être financée par un apport personnel ou faudra-t-il avoir recours à un prêt immobilier ? Surtout, après la vente du logement actuel, puis le remboursement du capital restant dû sur le prêt précédent, combien restera-t-il pour financer la nouvelle acquisition et donc de quel montant sera le nouvel emprunt ? Dans le cadre d’un projet de construction, quels sont les délais estimés avant de pouvoir habiter le bien ? Dans tous les cas, il est conseillé de définir un budget maximal et de se rapprocher sans tarder de son banquier pour envisager les solutions de financement les mieux adaptées.

Acheter avant de vendre son logement ou vendre avant d’acheter ?

Acheter avant de vendre son logement ou vendre avant d'acheter ?

Vous voulez vendre votre logement et en acheter un autre mais vous ne savez pas dans quel sens vous y prendre. Pour vous aider à y voir plus clair, SeLoger vous donne les avantages et les inconvénients de chaque solution.

Avant toute chose, définissez bien votre projet immobilier

Avant toute démarche, il convient de définir son projet en se posant les bonnes questions. Le but est notamment de réfléchir au financement de la nouvelle acquisition. Le nouveau logement recherché coûtera-t-il plus cher que l’ancien, en tenant compte des frais de notaire ? Attention à penser également aux éventuels frais de rénovation. Si le nouveau logement est plus cher, la différence pourra-t-elle être financée par un apport personnel ou faudra-t-il avoir recours à un prêt immobilier ? Surtout, après la vente du logement actuel, puis le remboursement du capital restant dû sur le prêt précédent, combien restera-t-il pour financer la nouvelle acquisition et donc de quel montant sera le nouvel emprunt ? Dans le cadre d’un projet de construction, quels sont les délais estimés avant de pouvoir habiter le bien ? Dans tous les cas, il est conseillé de définir un budget maximal et de se rapprocher sans tarder de son banquier.

Faut-il vendre avant d'acheter son bien immobilier ?

Vendre puis acheter ou acheter puis vendre son logement ?

Avec le démarrage des recherches, se pose la question de savoir s’il faut d’abord vendre son ancien logement avant d’acheter le nouveau logement ou procéder en ordre inverse. Ces deux solutions sont envisageables et comportent leurs propres avantages et inconvénients :

  1. Vendre avant d’acheter permet de définir avec exactitude son apport personnel et surtout d’éviter le remboursement de deux emprunts simultanés si l’ancien logement n’était pas encore entièrement financé. En contrepartie, cette solution nécessite de trouver un logement temporaire (location, famille, amis) pour assurer la période de transition, en louant éventuellement un emplacement pour stocker les meubles et les cartons du déménagement.
  2. Cette contrainte est évitée si l’on achète son nouveau logement avant de vendre l’ancien. Il est alors souvent nécessaire d’avoir recours à un prêt relais en complément d’un prêt amortissable « classique ». Cette seconde solution est généralement préférée à la première pour éviter d’être sans résidence principale pendant plusieurs mois et pour assurer une transition plus progressive entre les deux logements.

Bon à savoir

Pour faciliter la période de transition, il est souvent possible de négocier avec son acheteur ou son vendeur pour rester quelques jours ou semaines de plus dans son ancien logement ou emménager dans son nouveau logement avec quelques jours ou semaines d’avance.

Comment vendre en toute simplicité ?

Pour vendre son ancien logement, il est fréquent d’avoir recours à une agence immobilière, qui prend en charge les aspects à la fois opérationnels (recherche d’un acquéreur, organisation des visites) et administratifs (diagnostics immobiliers préalables, signature du compromis de vente). Le propriétaire peut alors avoir recours à un mandat simple, qui lui laisse la liberté de faire appel à plusieurs agences immobilières et de rechercher lui-même un acheteur en parallèle ou un mandat exclusif, qui lui permet de déléguer la vente du bien à une seule agence. De nombreux vendeurs préfèrent avoir recours à un mandat simple en partant de l’idée que le bien aura plus de chances d’être vendu en étant poussé par plusieurs réseaux d’agences. Toutefois, l’expérience montre que les biens immobiliers mis en vente par le biais d’un mandat exclusif ont tendance à trouver un acquéreur plus rapidement qu’avec un mandat simple, l’agence mandatée étant alors plus active dans la recherche d’un acheteur.

Bon à savoir

Dans tous les cas, les transactions doivent d’abord faire l’objet d’une signature de compromis avant de procéder à la signature finale de la vente du bien devant notaire, généralement dans les 3 mois suivant la signature du compromis.

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