Un crédit immobilier à 1,6 % sur 25 ans, qui dit mieux ?

Par Vincent Cuzon le 6 Mars 2019

Les taux de crédit immobilier sont en légère baisse par rapport au mois précédent : ils atteignent en moyenne 1,44 %. Les durées d’emprunt se maintiennent à 230 mois en moyenne.

Les taux de crédit immobilier baissent encore !

Depuis 1 an, les taux de crédit restent stables à un niveau historiquement bas, tandis que les durées d’emprunt s’allongent et que les banques ont baissé leur niveau d’exigence concernant l’apport personnel des emprunteurs. Les taux d’intérêt réels restent négatifs pour le neuvième mois consécutif, décrivant une situation inédite depuis 1974. Conséquence, l’accès aux crédits immobiliers n’a jamais été rendu aussi facile par les établissements bancaires qui cherchent à atténuer la détérioration de la solvabilité de la demande, provoquée par la hausse des prix de l’immobilier et la dégradation des soutiens publics à la primo accession à la propriété. Dans le détail, depuis février 2018, les taux ont baissé de 4 points de base sur l’ensemble du marché, de 5 points de base sur le marché de l’ancien (à 1,47 %) et de 4 points de base sur le marché du neuf (à 1,46 %). Sur 1 an, les taux ont reculé de 9 points de base sur les prêts de 15 ans et 20 ans, atteignant respectivement 1,22 % et 1,39 %, et de 13 points de base sur 25 ans, atteignant 1,63 %.

Taux Crédit Immobilier Février 2019
Les taux de crédit sont relativement stables sur les 12 derniers mois. © L’Observatoire Crédit Logement/CSA

Bon à savoir

Les taux de crédit immobilier se sont établis à 1,44 % en moyenne, contre 1,45 % en janvier.

Les acheteurs français empruntent sur 19 ans en moyenne

En ce qui concerne la durée moyenne des prêts accordés, elle s’est élevée à 230 mois en février. Pour rappel, après avoir diminué durant 6 années, les durées avaient commencé à se redresser à partir de 2014. Depuis 2013, elles se sont accrues de 24 mois et n’avaient jamais été aussi élevées. La part de la production de crédit sur plus de 25 ans s’est ainsi établie à 41, 5 % en février 2019 (71, 9 % sur plus de 20 ans). Au total, l’amélioration des conditions de crédit qui en a résulté a permis d’atténuer la détérioration de la solvabilité des ménages, affectée par la hausse des prix et par la dégradation des soutiens publics (PTZ, Pinel…). De son côté, le coût des opérations réalisées par les ménages augmente encore (+ 4,1 % pour le 1er bimestre), après avoir progressé à un rythme soutenu depuis 3 ans (dont + 3,5% en 2018). Le coût relatif s’établit donc à 4,3 années de revenus, contre 4,2 années il y a un an. Les revenus des ménages qui réalisent ces opérations n’augmentent que doucement : + 1 %, bien en deçà de la hausse du coût des opérations réalisées. Dans le même temps, le niveau de l’apport personnel recule rapidement : – 7.2 % pour le 1er bimestre de 2019.

Durées d'emprunt Février 2019
La durée d’emprunt moyenne atteint 19 ans en février 2019. © L’Observatoire Crédit Logement/CSA

Emprunt immobilier : l’activité du marché des prêts reste stable

Les derniers mois de 2018 ont été affectés par les inquiétudes des ménages concernant l’évolution de leur pouvoir d’achat et la situation de l’emploi. Depuis novembre 2018, l’activité des marchés immobiliers est également perturbée par le mouvement des « gilets jaunes ». Néanmoins, la fin de l’année 2017 n’ayant pas été très réjouissante, le rythme d’évolution annuel de l’activité (hors rachats de créances) affiche toujours un certain dynamisme en février 2019. Un dynamisme également nourri par l’amélioration des conditions de crédit et l’assouplissement des conditions d’octroi des prêts. Entre décembre 2018 et février 2019, la production de crédit est ainsi en hausse de 11,5 % par rapport à la même période, un an plus tôt. Le nombre des prêts accordés est lui en hausse de 2,6 % sur la même période, compte tenu d’un nouvel accroissement du niveau moyen des prêts accordés. En revanche, de mars 2018 à février 2019, la tendance baissière du marché persiste : si la production est en hausse de 7,5 % par rapport à la même période un an plus tôt, le nombre des prêts accordés recule de 0,5 %.

Les taux d’emprunt moyens en février 2019

DURÉE D’EMPRUNT TAUX MOYEN
15 ans 1,22 %
20 ans 1,39 %
25 ans 1,63 %
 Article de : https://edito.seloger.com/actualites/france/un-credit-immobilier-16-sur-25-ans-qui-dit-mieux-article-30949.html

Quelles sont les parties communes d’une copropriété ?

Quelles sont les parties communes d'une copropriété ?

Au sein d’une copropriété, il existe des parties communes et des parties privatives, déterminées par la loi. La loi ELAN du 23 novembre 2018 a élargi la définition des parties communes.

Les parties communes dans une copropriété

La loi du 10 juillet 1965 relative à la copropriété rappelle que sont communes les parties des bâtiments et des terrains affectées à l’usage ou à l’utilité de tous les copropriétaires ou de plusieurs d’entre eux. Les parties communes sont en principe déterminées dans le règlement de copropriété. A défaut de mention spécifique dans cet acte ou en cas de contradiction entre le règlement de copropriété et l’état descriptif de division, il convient de se référer à l’article 3 de la loi de 1965 qui liste les parties présumées communes, à savoir :

  • Le sol, les cours, les parcs et jardins, les voies d’accès.
  • Le gros œuvre des bâtiments, les éléments d’équipement commun, y compris les parties des canalisations y afférentes qui traversent les locaux privatifs.
  • Les coffres, gaines et têtes de cheminées.
  • Les locaux des services communs.
  • Les passages et corridors.
  • Tout élément incorporé dans les parties communes.

Et sont réputés droits accessoires aux parties communes :

  • Le droit de surélever un bâtiment affecté à l’usage commun ou comportant plusieurs locaux qui constituent des parties privatives différentes, ou d’en affouiller le sol.
  • Le droit d’édifier des bâtiments nouveaux dans des cours, parcs ou jardins constituant des parties communes.
  • Le droit d’affouiller de tels cours, parcs, ou jardins.
  • Le droit de mitoyenneté afférent aux parties communes.
  • Le droit d’affichage sur les parties communes.
  • Le droit de construire afférent aux parties communes.

Bon à savoir

La loi Elan du 23 novembre 2018 a pour objet de mettre en conformité la législation avec la jurisprudence.

La loi ELAN a élargi la définition des parties communes dans une copropriété

Antérieurement à la loi ELAN, la définition des parties communes et des droits accessoires n’était pas aussi complète. A plusieurs reprises, la Cour de cassation a considéré que les éléments faisant corps avec le gros œuvre étaient des parties communes, notamment les solives, les barres d’appui ou encore les garde-corps. La haute juridiction a aussi qualifié de droits accessoires aux parties communes le droit d’affichage et le droit de construire. C’est pourquoi, le législateur a tenu reprendre cette tendance jurisprudentielle dans la loi ELAN. Les éléments incorporés aux parties communes ont donc fait leur entrée dans la liste légale des parties communes, tandis que le droit d’affichage et le droit de construire ont intégré celle relative aux droits accessoires aux parties communes.

Références juridiques

  • Article 3 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965
  • Article 208 de la loi n°2018-1021 du 23 novembre 2018

Article de : https://edito.seloger.com/conseils-d-experts/copropriete/quelles-sont-les-parties-communes-d-une-copropriete-article-30434.html

Peut-on modifier un mur mitoyen ?

Peut-on modifier un mur mitoyen ?

Peut-on modifier un mur mitoyen ?

Le mur mitoyen peut parfois causer des ennuis de voisinage entre les propriétaires de deux propriétés contiguës. C’est notamment le cas lorsque l’un des deux souhaite modifier le mur, de sa propre initiative, comme en le surélevant, par exemple.

Un propriétaire peut modifier un mur mitoyen, à ses frais

Votre terrain et celui de votre voisin sont délimités par un mur mitoyen. Dans ce cas, ce mur vous appartient à tous les deux à part égale, ce qui implique que vous devez l’entretenir, le réparer et le reconstruire en partageant les frais, le cas échéant. Pour autant, l’un des propriétaires peut-il modifier ce mur comme bon lui semble ? A cette question, la loi répond que l’un ou l’autre des propriétaires peut parfaitement prendre l’initiative de modifier le mur mitoyen, en le surélevant, par exemple. En revanche, cela implique deux choses :

  • Les modifications apportées par l’un des propriétaires ne doivent pas être de nature à nuire au voisin. Si l’un des voisins souhaite élargir le mur, il doit donc le faire en empiétant sur sa propriété uniquement.
  • Le propriétaire à l’initiative des modifications doit supporter seul le coût de ces modifications et ne peut pas demander de participation à son voisin.

En l’occurrence, la Cour de Cassation a notamment estimé conforme une surélévation d’un mur mitoyen par un propriétaire, qui a également utilisé ce mur comme mur extérieur d’un nouveau bâtiment et qui y a fait percer des jours.

Référence juridique

  • Cass. Civ 3, 6.9.2018, W 17-19.430

Vidéo : Mur mitoyen : a-t-on le droit de le modifier ?

Définition d’un mur mitoyen

Un mur est considéré comme mitoyen s’il sépare :

  • Deux bâtiments appartenant à deux propriétaires distincts.
  • Ou deux cours ou deux jardins appartenant à deux propriétaires distincts.
  • Ou deux enclos dans les champs appartenant à deux propriétaires distincts.

Un mur peut être mitoyen en totalité ou en partie. En effet, si l’un des propriétaires a réalisé une surélévation, de sa propre initiative et à ses frais, la partie, qui est venue surélever le mur, lui appartient exclusivement, c’est donc à lui de l’entretenir. Tandis que la partie qui était commune auparavant reste commune aux deux propriétaires qui doivent l’entretenir ensemble.

Bon à savoir

La preuve de la mitoyenneté ou de la non mitoyenneté d’un mur est apportée soit par un titre de propriété, soit par une prescription. En effet, si un seul des voisins entretient ou répare seul le mur pendant 30 ans, le mur lui appartient.

Quelle est la hauteur maximale d’un mur mitoyen ?

L’une des principales modifications apportées aux murs mitoyens est sans doute la surélévation, afin d’obtenir un mur plus haut, qui peut apporter davantage d’intimité à certains propriétaires. Mais en matière de hauteur des murs, la loi fixe des règles. La règle générale qui s’applique par défaut dispose que la hauteur maximale d’un mur ou d’une clôture est de 2,60 mètres lorsque l’on réside dans une comme de moins de 50 000 habitants, et de 3,20 mètres dans les communes de plus de 50 000 habitants. Mais les mairies sont libres de fixer d’autres règles en matière de hauteur des murs et des clôtures, il est donc recommandé de se renseigner en mairie avant d’entreprendre des travaux de surélévation. En effet, si un voisin se sent lésé du fait de la hauteur trop importante du mur mitoyen et que la hauteur n’est pas réglementaire, vous serez contraint(e) de la détruire et de la reconstruire.

Bon à savoir

En cas de dégradation ou d’effondrement du mur mitoyen, les voisins doivent participer à sa rénovation et à sa reconstruction à part égale, en ce qui concerne la partie commune du mur.

Article de https://edito.seloger.com/conseils-d-experts/reglementations/peut-modifier-un-mur-mitoyen-article-30104.html

Combien coûte un compromis de vente ?

Combien ça coûte un compromis de vente ?

Le compromis de vente est l’avant-contrat le plus commun lors d’une vente immobilière. La plupart du temps, le compromis de vente ne coûte rien à personne, mais il entraîne un coût lorsqu’il est enregistré auprès des services fiscaux ou lorsqu’il est signé chez le notaire.

Qui paye les frais du compromis de vente pour l’achat d’un bien immobilier ?

Lorsqu’un acheteur souhaite acheter le bien immobilier d’un vendeur, ils doivent sceller leur accord en signant un compromis de vente. Il s’agit de l’avant-contrat le plus répandu et le plus conclu. Il peut être signé de trois façons différentes :

  1. Sous seing privé, c’est-à-dire entre particuliers et sans l’intervention d’un professionnel.
  2. En présence de l’agent immobilier qui a eu la charge de la vente du bien.
  3. En présence d’un notaire.

Contrairement à la promesse de vente, le compromis de vente ne doit pas obligatoirement être enregistré auprès des services fiscaux, mais on peut faire le choix volontaire de le faire enregistrer. C’est pour cette raison que le compromis de vente est généralement gratuit lorsqu’il est signé sous seing privé ou dans une agence immobilière. En revanche, lorsqu’il est signé chez le notaire, ce dernier facture en moyenne 150 à 300 € pour frais de rédaction d’acte et c’est généralement l’acquéreur qui les paye. Notez que si l’acquéreur se rétracte, il doit quand-même s’acquitter des frais de rédaction auprès du notaire : ce dernier doit être rémunéré pour le travail de rédaction qu’il a réalisé.

Le compromis de vente peut être signé sous seing privé

Lors de la vente d’un bien immobilier entre particuliers, les parties signent alors le compromis de vente entre elles, ce qui s’appelle un acte sous seing privé, puisqu’aucun professionnel n’intervient. Dans ce cas, cela signifie que le vendeur se charge de rédiger lui-même le compromis de vente, qui sera ensuite généralement signé chez lui. Bien souvent, le compromis de vente ne coûte alors rien à l’acquéreur, car le vendeur ne peut pas facturer de frais pour la rédaction du document. En revanche, si le vendeur décide d’enregistrer le compromis de vente lui-même auprès des services fiscaux, il est alors en droit de demander à l’acquéreur de régler les frais qui s’élèvent à 125 €.

Bon à savoir

C’est lors de la signature du compromis de vente que l’acquéreur peut verser un dépôt de garantie équivalent à 5 à 10 % du prix du bien. Ce montant sera déduit du prix de vente à régler le jour de la signature de l’acte de vente définitif chez le notaire.

Le compromis de vente peut être signé dans une agence immobilière

Lorsque le vendeur a fait appel à une agence immobilière pour lui déléguer la vente de son bien, la signature du compromis a alors lieu à l’agence, en présence de l’agent immobilier. Le compromis de vente est alors rédigé par l’agence, il s’agit en général d’un modèle type de compromis que l’agent immobilier complète pour chaque nouvelle vente, et qui contient donc toutes les informations légales. Les agents immobiliers ne facturent pas le compromis de vente, ni au vendeur, ni à l’acheteur.

Le compromis de vente peut être signé chez le notaire

Enfin, n’importe qui peut décider que le compromis de vente sera signé chez un notaire, voire en présence de deux notaires lorsque les parties souhaitent chacune faire intervenir leur notaire respectif. L’avantage de la signature d’un compromis chez le notaire est la fiabilité du contenu, qui contient systématiquement toutes les informations légales. Dans ce cas, le notaire va facturer les frais de rédaction de l’acte, mais également les frais d’enregistrement auprès des services fiscaux si lui ou l’une des parties estime que c’est préférable. Le notaire facture alors en moyenne 150 à 300 €, et c’est l’acquéreur qui doit s’acquitter des frais. Notez que le montant de ces frais n’est jamais doublé si deux notaires interviennent : dans ce cas, ils se partagent le travail ainsi que le montant versé.

Bon à savoir

Il est conseillé de faire rédiger et de signer le compromis de vente chez le notaire, car il n’est pas impliqué commercialement dans la vente. Il sert donc de tampon entre le vendeur et l’acquéreur, et conseille aussi bien l’un que l’autre de façon totalement neutre.

Article de : https://edito.seloger.com/conseils-d-experts/acheter/combien-ca-coute-un-compromis-de-vente-article-30134.html

Nos biens de prestige/Our prestige properties

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Retrouvez également tous nos biens sur le site : https://www.residences-immobilier.com/fr/immobilier-port-la-nouvelle-11-8967_1.html

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Combien coûte une résidence secondaire dans la région ?

Prix immobilier : combien coûte une résidence secondaire dans votre région ?

Ah, les résidences secondaires ! Beaucoup de Français rêvent d’en posséder une mais peu en ont les moyens… Découvrez, région par région, combien coûte une résidence secondaire à l’achat.

Paris tire les prix des résidences secondaires vers le haut

Si vous envisagez de vous offrir une résidence secondaire, sachez que c’est en Île-de-France, en Aquitaine et en région PACA que cela vous coûtera le plus cher. Parce qu’ils sont le reflet de la réalité du marché des résidence principales, les prix de vente des résidences secondaires sont particulièrement élevés dans ces trois zones. Si vous habitez à Paris et que vous cherchez à acheter une résidence secondaire qui ne soit pas trop éloignée de la capitale, la région parisienne semble être un bon choix, mais ce choix, vous risquez de le payer au prix fort ! Car c’est peu dire que Paris tire les prix immobiliers vers le haut. Selon les chiffres recueillis par l’Observatoire LPI et le baromètre LPI-SeLoger, en Île-de-France, les prix, pour une résidence secondaire, sont plus élevés que partout ailleurs dans l’hexagone. Que votre choix se porte sur un appartement parisien dont vous ferez votre pied-à-terre ou sur une maison dans la campagne francilienne, il vous en coûtera, en moyenne, 341 700 €. Boostée par la Côte d’Azur, l’attractivité de la région PACA en termes de résidences secondaires n’est plus un secret pour personne et nombreux sont les Français à vouloir profiter d’une résidence secondaire sous le soleil du midi. Mais là encore, la demande fait monter les prix : avec un prix moyen de 322 700 €, la région PACA se hisse sans peine sur la deuxième marche de notre podium.

Top 3 des prix des résidences secondaires

Bon à savoir

  • En France, une résidence secondaire coûte en moyenne 245 200 €.

Plus de 300 000 € pour une villa secondaire en Aquitaine !

La médaille de bronze de notre classement revient à l’Aquitaine. N’en déplaise à Donald Trump et aux climatosceptiques, le réchauffement climatique est une réalité. Et même si, question température, la façade atlantique n’égale pas – encore – la Riviera, les spécialistes tablent tout de même sur son réchauffement progressif : + 2 ° en 2070. Mais que le prix élevé des maisons secondaires « aquitainoises » soit la résultante du réchauffement climatique, de l’attractivité exponentielle de la région ou encore de l’explosion des prix à Bordeaux et dans sa périphérie, les faits sont là : de la Dordogne aux Pyrénées Atlantiques, en passant par la Gironde, les Landes et le Lot-et-Garonne, acquérir un logement de villégiature en Aquitaine coûte désormais 303 300 €, en moyenne.

Bon à savoir

  • 75 % des résidences secondaires des Français sont situées à moins de 80 kilomètres du lieu de leur résidence principale.
  • Dans l’hexagone, on dénombre près de 3 millions de résidences secondaires.
  • En moyenne, les Français passent 40 nuits par an dans leur résidence secondaire.

De fortes disparités du prix de l’immobilier selon les régions

Avec un prix moyen de plus de 300 000 €, les trois régions où les résidences secondaires coûtent le plus cher sont l’Île-de-France, la Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’Aquitaine. Mais comme c’est le cas sur le marché des résidences principales, la valeur d’une résidence secondaire varie considérablement d’une région à l’autre. Sur toute la longueur de la « diagonale du vide », cette bande de territoire qui s’étend de la Meuse jusqu’aux Landes et à l’intérieur de laquelle les densités de population sont moins élevées qu’ailleurs, le prix moyen d’une résidence secondaire ne dépasse par 160 000 €. Dans ce secteur, ils oscillent ainsi entre 111 400 € seulement dans le Limousin et 159 200 € dans le Centre. Mais il ne s’agit là que de prix moyens. Car en Haute-Vienne, le prix de vente de certaines maisons ne dépasse pas 50 000 €… Avec le Limousin, il est à noter que c’est en Auvergne (126 700 €) et en Lorraine (125 900 €) que les résidences secondaires valent le moins cher. D’autre part, il est intéressant de souligner qu’en ce qui concerne l’arc atlantique, le prix des résidences secondaires tend à baisser à mesure que l’on progresse vers le nord : de 303 300 € en Aquitaine, on passe à 257 500 € en Poitou-Charentes puis à 248 300 € dans les Pays-de-la-Loire pour tomber à 243 800 € en Bretagne. Enfin, en dépit de leur proximité avec Paris et de leurs plages (Fécamp, Le Touquet), les prix des résidences secondaires situées en Haute-Normandie et en Picardie sont en-dessous des 185 000 €.

residence secondaire prix france

Les prix de l’ancien les plus faibles se situent le long d’une quasi-diagonale : Champagne-Ardenne, Lorraine, Bourgogne, Franche Comté, Auvergne et Limousin… Ils épousent ainsi pratiquement la « diagonale des faibles densités ».

Michel Mouillart, porte-parole du baromètre LPI-SeLoger

Une maison secondaire, ça a un coût…

Les dépenses que vous affecterez à votre résidence secondaire sont loin de se limiter à son prix d’achat. Entre les frais d’assurance, le chauffage, l’entretien du jardin, voire de la piscine et les impôts locaux, l’addition peut rapidement monter. Heureusement, vous avez la possibilité de mettre votre résidence secondaire en location. Selon les règles en vigueur dans la commune où se trouve votre habitation, vous devrez :

  • Soit obtenir une autorisation de changement d’usage suivie d’une déclaration en mairie.
  • Soit déclarer votre meublé en vue de vous faire délivrer une autorisation de changement d’usage.
  • Soit déclarer votre bien sans devoir accomplir d’autre formalité.

Dans tous les cas, pensez également à vous enregistrer auprès des impôts.

Le top 5 des régions où les résidences secondaires coûtent le moins cher

RÉGION PRIX
Limousin 114 400 €
Lorraine 125 900 €
Auvergne 126 700 €
Franche-Comté 132 600 €
Champagne-Ardenne 151 800 €

Gestion locative : les avantages à passer par une agence immobilière

Par Blandine Horner le 6 Février 2019

La gestion locative par une agence immobilière, c’est la garantie d’être bien conseillé, accompagné, et de pouvoir mettre en location sereinement votre bien. Les services des agences immobilières ne manquent pas d’avantages, pour un coût raisonnable.

Pourquoi passer par une agence immobilière pour la gestion locative ?

Le recours aux services d’une agence immobilière est préférable si vous mettez un logement en location, car la gestion locative est très chronophage. Elle nécessite beaucoup de temps et d’énergie, ainsi qu’une grande connaissance du marché immobilier, de la législation et des normes en cours. La gestion locative par un professionnel comporte donc certains intérêts :

  • Vous bénéficiez de conseils avisés et d’un accompagnement personnalisé de la part de l’agent immobilier, notamment en ce qui concerne le montant du loyer.
  • Vous bénéficiez d’une garantie en cas de loyers impayés ou de dégradations, car l’agence propose généralement une garantie des risques locatifs.
  • Vous avez la garantie que le logement, que vous louez, est entretenu et aux dernières normes.
  • Le risque de vacance locative est moins élevé, car les outils de communication de l’agent immobilier sont nombreux et performants.
  • Le coût de la gestion locative reste raisonnable : comptez entre 5 et 10 % du loyer que vous percevez.

Vous profitez des conseils d’un professionnel spécialisé dans la location

Le premier bénéfice de la gestion locative par une agence immobilière, c’est que vous n’êtes jamais seul(e) face à une difficulté. Vous profitez des conseils et de l’accompagnement d’un professionnelà tout moment et sur tous les sujets relevant de la gestion locative. Si vous vous interrogez au sujet du montant du loyer ou des travaux à réaliser, des charges facturées au locataire ou sur tout autre sujet, vous n’avez qu’à vous tourner vers l’agent immobilier en charge de la gestion locative de votre bien. Ce dernier est un professionnel de l’immobilier, qui connaît parfaitement le marché immobilier de la commune et du quartier où se situe le bien, qui connaît également la législation, qui est au courant en temps réel des dernières lois, des dernières décisions de justice et des dernières normes en vigueur.

Bon à savoir

La gestion locative par un agent immobilier représente un immense gain de temps, car vous n’avez pas à effectuer vous-même les visites, les états des lieux, la rédaction du bail et les quittances de loyer, etc.

Vous bénéficiez d’une garantie en cas de loyers impayés

De nombreux dispositifs vous permettent d’être couvert en cas de litige avec le locataire ou de loyers impayés. Les agences immobilières proposent généralement une garantie des risques locatifs qui vous assure contre les loyers impayés, généralement à hauteur de 70 000 €. Cette garantie finance ainsi le recouvrement des dettes du locataire et couvre les dégradations éventuelles faites par le locataire dans le logement, à hauteur de 7 700 € . Certaines conditions doivent cependant être réunies pour pouvoir souscrire une garantie des risques locatifs :

  • Le logement doit constituer la résidence principale du locataire.
  • Le loyer doit être inférieur à 2 000 €.
  • Le loyer doit être inférieur à 50 % des revenus du locataire.

Vous avez l’assurance d’un logement entretenu et aux dernières normes

Il est toujours risqué de mettre en location un logement dégradé ou même un logement qui ne répond pas aux dernières normes, car les locataires peuvent se retourner contre vous et obtenir gain de cause. Avec un bien en gestion locative avec une agence immobilière, aucun risque d’être hors la loi, puisque l’agent immobilier se tient au courant de tous les changements de lois et de normes qui peuvent s’appliquer à votre logement, et il prend tout en main. C’est donc lui qui se charge d’entretenir le logement, d’entreprendre des travaux de réparation ou de rénovation, ou tout simplement de lui donner un coup de propre pour un nouveau locataire si besoin et si vous êtes d’accord. L’agent immobilier peut également vous proposer un accompagnement en rénovations et solutions écologiques, en vous suggérant des aménagements simples afin de réduire la perte de chaleur et le gaspillage des énergies.

Bon à savoir

Grâce à la gestion locative par une agence immobilière, vous pouvez investir dans un logement aux quatre coins du pays et faire appel à une agence locale. Vous n’avez donc pas besoin d’être à proximité du logement que vous louez, l’agent immobilier gère tout de A à Z même si vous vivez loin.

Avec un contrat de gestion immobilière, vous risquez moins de vacance locative

L’agent immobilier dispose d’un excellent réseau de locataires en recherche d’un logement, et de propriétaires dont le logement est vide ou sur le point d’être remis en location. Il n’a donc parfois pas besoin de mettre d’annonce, car il peut proposer votre logement à des personnes en recherche active. Mais lorsque c’est nécessaire, l’agent immobilier use alors de tous les outils à sa disposition pour communiquer au sujet de votre logement en location. Il va donc publier des annonces sur des sites d’annonces en ligne, va contacter des personnes en recherche, va organiser les visites, recevoir les visiteurs, les renseigner, recueillir les dossiers des différents candidats à la location, etc. Bref, vous avez moins de risque de vacance locative, car l’agent immobilier responsable de la gestion de votre bien consacre son temps à la recherche de nouveaux locataires.

Quel tarif pour louer votre logement par une agence ?

Bien évidemment, la gestion locative par une agence immobilière a un coût, mais ce coût reste raisonnable, eu égard à toutes les tâches que l’agent immobilier réalise quotidiennement. Vous devez compter en moyenne entre 5 et 10 % du loyer que vous percevez. Mais c’est le prix de la tranquillité d’esprit, puisque vous n’avez rien à gérer vous-même.

Bon à savoir

Il est recommandé de faire appel à une agence locale au moment de confier la gestion locative de votre bien à un professionnel.

Article de : https://edito.seloger.com/#?bd=HP_EditPlus

Le prélèvement à la source va impacter l’achat immobilier : vraie info ou fake news ?

On entend parfois dire que la mise en place du prélèvement à la source va pénaliser les acquéreurs immobiliers s’ils doivent emprunter pour financer leur achat… Info ou intox ?

Faux : le prélèvement à la source va réduire votre capacité d’endettement

Prélèvement à la source oblige, le net à payer figurant sur votre fiche de paye sera moins élevé qu’avant. Pour autant, cette baisse ne vous mettra pas de bâtons dans les roues si vous devez souscrire un prêt immobilier. « La plupart des banques devrait continuer de prendre en compte le montant du salaire net de charges, c’est-à-dire « avant impôt », pour calculer le taux d’endettement et évaluer la capacité d’emprunt » explique Sandrine Allonier de VousFinancer. « Quant aux banques qui se basent sur le salaire net après impôt, elles augmenteront en contrepartie le taux d’endettement maximum ». La mise en place du prélèvement à la source ne rend donc pas plus compliquée l’obtention d’un prêt immobilier, ni ne réduit la somme que vous pouvez emprunter.

Bon à savoir

  • 55 % des Français (et 72 % des moins de 35 ans) craignent que leur capacité d’emprunt ne soit réduite suite à l’entrée en vigueur du prélèvement à la source.
  • 55 % des personnes interrogées (et 75 % des moins de 35 ans) redoutent également d’avoir des difficultés à faire face à leurs mensualités. (Source. OpinionWays)

Vrai : un effet psychologique d’appauvrissement est à craindre

Bien que le pouvoir d’achat immobilier des Français reste inchangé, la baisse du salaire net versé risque néanmoins de faire naître en eux un sentiment d’appauvrissement. Mais ce sentiment est irrationnel car s’il fait baisser le net à payer, le prélèvement à la source va, par exemple, produire un effet positif sur la trésorerie des contribuables qui avaient opté pour la mensualisation. En effet, l’impôt est dorénavant étalé sur douze mois (au lieu de dix !). L’impact psychologique de la réforme du paiement de l’impôt sur le revenu des contribuables risque toutefois d’être bien réel, cette fois, en termes d’appétence pour la propriété et les velléités d’achat immobilier des Français pourraient bien être freinées… « Une frilosité des emprunteurs et un report des transactions sont à prévoir au cours du premier trimestre, notamment chez les primo-accédants » indique Sandrine Allonier. Les Français pourraient donc être tentés de différer leurs projets d’achat immobilier de quelques mois. D’autre part, le passage au prélèvement à la source pourrait pénaliser certains salariés qui voudraient devenir propriétaires. « S’ils ne sont pas habitués à la mensualisation et aux contraintes de gestion qu’elle implique, des découverts bancaires sont à craindre et les banques n’aiment pas ça… ».

Bon à savoir

Plusieurs pays d’Europe (Allemagne, Belgique, Espagne, Grande-Bretagne) pratiquent déjà le prélèvement de l’impôt à la source.

Et la location, on en parle ?

Le pouvoir de location des Français a toutes les chances d’être également épargné par la mise en place du prélèvement à la source. « Le marché locatif ne devrait pas être touché par cette mesure » estime Mortimer Gillot-Khayat, agent immobilier IAD, à Nice. Lorsqu’ils étudieront un dossier de location, et tout particulièrement les fiches de paie des aspirants-locataires, les propriétaires devront toutefois « se référer à la ligne “revenus nets avant imposition”». La règle selon laquelle les revenus nets mensuels d’un locataire doivent correspondre à trois mois de loyer va donc devoir être légèrement réinterprétée afin de s’adapter au nouveau contexte fiscal.

Verdict

  • Selon toute vraisemblance, le marché immobilier français ne devrait donc pas être une victime collatérale de la mise en place du prélèvement de l’impôt à la source.
  • Le pouvoir d’achat immobilier/de location des Français ne devrait pas être rogné par les nouvelles règles fiscales.

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5 solutions pour agrandir sa maison

Vous êtes bien décidé(e) à agrandir votre maison. Quelles sont les solutions qui s’offrent à vous ? Quels sont les prérequis pour agrandir sa maison selon les différentes options ? Quel budget prévoir ? Prenez connaissance des informations de ce dossier complet.

1. La véranda pour apporter de la luminosité dans votre maison

La première solution, qui s’offre à vous, est de construire une véranda pour agrandir votre maison. Elégante, lumineuse et moderne, elle vous permet d’étendre un espace de vie tel que le salon ou la salle à manger, ou encore d’y installer un bureau depuis lequel vous pourrez contempler votre jardin grâce à ses larges baies vitrées. Mais attention, la véranda n’est pas une solution pour tout le monde, car elle ne vous permet pas d’aménager un espace plus intime : chambre, salle de bains ou même cuisine, car l’arrière des meubles sera visible depuis l’extérieur la véranda.

Bon à savoir

  • Une véranda coûte en moyenne 2 000 à 50 000 €.

2. La surélévation si l’espace de votre terrain est restreint

La surélévation consiste à rehausser le toit de la maison afin de créer ou de relever un étage dans votre maison. Cette solution est idéale si vous bénéficiez de peu d’espace disponible sur votre terrain, car cet agrandissement de la maison n’aura aucune emprise au sol. L’autre avantage est la grande variété de pièces que vous pouvez aménager : il peut s’agir de chambres, de salles d’eau, d’un bureau voire d’un studio. En revanche, impossible d’agrandir une pièce à vivre telle que le salon ou la salle à manger. De plus, notez qu’il vous faudra consacrer un espace à l’escalier qui vous permettra d’accéder à l’étage surélevé. N’oubliez pas les démarches administratives inhérentes à votre projet d’agrandissement. Selon la surface créée, vous devrez soit déposer une déclaration de travaux, soit faire une demande de permis de construire.

Bon à savoir

  • Prévoyez entre 40 000 et 75 000 € pour une surélévation.

3. L’extension vous permet d’aménager n’importe quelle pièce

L’extension par le côté consiste à créer un espace supplémentaire directement au rez-de-chaussée de votre maison. Cette solution vous permet d’envisager absolument tous les scénarios possibles : agrandissement des pièces à vivre (salon, salle à manger, cuisine), création d’une ou plusieurs chambres supplémentaires ou d’un bureau, voire de salle d’eau (salles de bains et WC). Vous devez cependant disposer d’un espace suffisant sur votre terrain dont la taille disponible sera réduite, et penser à l’accès entre l’habitation principale existence et le module qui sera ajouté. Il serait en effet dommage de devoir passer par l’extérieur pour pouvoir accéder à la partie étendue de la maison.

Bon à savoir

  • Le prix d’une extension est d’environ 400 et 2 000 €/m².

4. L’aménagement des combles pour exploiter l’espace disponible

L’aménagement des combles vous permet d’exploiter un espace déjà existant dans votre maison. Vous pouvez prévoir d’y créer des chambres, un bureau, des salles d’eau, voire un studio entier. Mais ce projet nécessite d’avoir des combles exploitables, c’est-à-dire dont la hauteur est bien supérieure à 1,80 mètre, et que la charpente n’empiète pas sur la surface du plancher. De plus, vous devrez y faire installer l’électricité, voire l’arrivée d’eau, sans oublier de renforcer l’isolation.

Bon à savoir

  • Comptez en moyenne 500 à 1 500 €/m² pour aménager vos combles.

5. La dépendance dans le jardin pour plus d’intimité

Aménager une dépendance dans le jardin est particulièrement adapté à certains cas de figure. Si vous devez héberger vos parents âgés, que vous souhaitez bénéficier d’un espace indépendant mais proche de l’habitation pour votre adolescent, ou encore que vous souhaitez louer un studio à un étudiant ou des touristes : la dépendance est alors tout indiquée. Elle est donc moins appropriée si vous avez besoin d’agrandir des pièces à vivre, ou que vous souhaitez des chambres supplémentaires pour y installer vos jeunes enfants. De plus, il vous faudra un espace disponible suffisant pour pouvoir installer cette dépendance.

Bon à savoir

  • Une dépendance dans le jardin va coûter environ 150 à 700 €/m².

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