Immobilier : pourquoi le pourtour méditerranéen ne connaît pas la crise ?

Dans un marché immobilier chahuté, certaines villes parviennent encore à résister à la tendance. C’est le cas du pourtour méditerranéen qui affiche toujours à ce jour des hausses de prix continues.

Ainsi, sur les 57 villes étudiées par l’Observatoire GH, les 10 villes qui ont connu les plus fortes augmentations en 1 an sont situées en PACA ou en Occitanie. Il s’agit de Hyères (+10,4 %), Antibes (+ 10,3 %), Bastia (+ 9,2 %), Béziers (+ 8,8 %), Aix-en-Provence (+ 8,2 %), Narbonne (+ 8 %), Nice (+ 7,3 %), Perpignan (7,2 %), Cannes (+ 7,2 %) et Toulon (+ 7,1 %). Les villes de Méditerranée se sont ainsi particulièrement démarquées en 2023 avec une hausse moyenne d’augmentation du prix au mètre carré sur les logements anciens mis en vente de 6,2 % contre 3,4 % sur la moyenne nationale.

Une forte disparité selon les villes

A noter que le littoral est ouvert à tous les budgets. Les régions PACA et Occitanie proposent en effet des biens immobiliers avec des prix au mètre carré qui couvrent une large fourchette de valeurs, qu’il s’agisse des maisons ou des appartements. Il existe ainsi une très forte disparité avec un rapport de 1 à 10 du prix des maisons entre Béziers (356 385 euros) et Cannes (3 455 015 euros). Une tendance que l’on remarque également sur le segment des appartements. C’est en Occitanie que les prix des maisons sont les plus attractifs autour de la Méditerranée : de Béziers à Nîmes, il faut entre 356 000 euros et 510 000 euros pour devenir propriétaire d’une maison. Ces budgets ont continué de progresser en 2023 avec des hausses de + 1,4 % à Béziers à + 7,4% à NarbonneSeule la ville d’Avignon a connu l’an dernier un net recul de valeur, avec une baisse de – 18,5 %.

À l’inverse, la Côte d’Azur affiche les budgets les plus élevés, et toujours en forte progression, sauf à Cannes, dont le marché s’est stabilisé. Il faut ainsi compter près de 3,5 millions d’euros en moyenne pour une maison cannoise, près de 2,5 millions d’euros pour une maison à Antibes, et près d’1,5 millions d’euros à Nice.

Non loin derrière, Aix-en-Provence continue de séduire. Elle talonne ainsi les villas azuréennes, avec 1,4 millions d’euros en moyenne pour une maison, soit une progression de 5,1 % en 1 an.

En Corse, le marché semble scindé en deux. Si l’attractivité de Bastia s’est fortement développée en 2023, avec des prix en hausse de plus de 34 %, Ajaccio, déjà plus chère, a vu, quant à elle, la valeur de ses maisons reculer sur la même période.

Une demande soutenue et solvable

« Si les villes du littoral méditerranéen ont continué de voir leurs prix progresser, c’est d’abord lié à l’attractivité forte de ces territoires en termes de qualité de vied’autant qu’ils sont facilement accessibles par TGVD’autre part, il faut souligner la popularité des locations saisonnières et une demande croissante de la part des jeunes seniors et des retraités. En effet, ils béficient souvent d’un apport important suite à la vente de leur résidence principale et sont donc moins affectés par les difficultés d’accès au crédit immobilier : une demande soutenue et solvable, qui engendre une hausse régulière des prix »conclut Stéphane Fritz, président de Guy Hoquet l’Immobilier.

 

Source : https://www.journaldelagence.com/1397508-immobilier-pourquoi-le-pourtour-mediterraneen-ne-connait-pas-la-crise

Les Voiles Blanches de Port Leucate avec le CLUB VACANCES AGENCE DU SOLEIL !

Au sein de la Résidence Les Voiles Blanches à Port Leucate, nouvelle résidence au standing soigné, découvrez des logements modernes et agréables dans un cadre exceptionnel !

Les appartements, du T2 au T4, sont disponibles en location de vacances tout au long de l’année.

Profitez de services para-hôteliers grâce au CLUB VACANCES AGENCE DU SOLEIL :

UN ACCUEIL TOUTE L’ANNEE

Avec l’Agence du Soleil, vous avez maintenant la possibilité de venir en vacances dans notre région tout au long de l’année !

Dans le cadre idyllique de Port Leucate, face au port où il fait bon flâner, nous vous proposons de profiter de prestations para-hôtelières, au sein des Voiles Blanches. Les appartements du T2 au T4 vous offriront un confort intérieur haut de gamme et un espace extérieur sans pareil.

 LE NETTOYAGE REGULIER

Un ménage dans le logement est assuré (et inclus dans le prix de la location) à votre entrée, à mi-séjour et ‡ votre sortie du logement. Les protocoles d’hygiène de nos locations sont déployés par des professionnels en conformité avec les recommandations sanitaires.

LA FOURNITURE DE LINGE DE MAISON

Voyagez léger ! Ne vous encombrez pas de votre linge de lit et/ou de toilette, il est fourni par nos soins.

Réservez dès maintenant votre séjour AUX VOILES BLANCHES avec les CLUB VACANCES AGENCE DU SOLEIL
Par téléphone au 04 68 40 93 93
ou par email à loc.leucate@agencedusoleil.com

Marché de l’immobilier en 2023, une baisse des prix confirmée

Sans surprise, l’ensemble des agences ont été impactées par le durcissement des conditions d’octroi de crédit. « Sur le dernier trimestre 2022, près de la moitié de nos agences ont dû faire face à des refus de prêt entraînant la rupture de la vente en cours. Cela concerne dans beaucoup d’agences une transaction sur 10… Certaines agences notent d’ailleurs que le phénomène semble s’amplifier en ce début d’année avec jusqu’à parfois 30 % de ventes qui n’aboutissent pas en raison de refus de prêt », analyse Brice Cardi. La conséquence de ces ventes interrompues ? Un retour des biens sur le marché immobilier souvent à un prix inférieur… Autre constat des agences du réseau : de plus en plus d’acheteurs annulent leurs offres juste avant la signature du compromis, de crainte d’avoir plus tard un refus de prêt.

Une hausse des marges de négociations…

Dans ce contexte, et en raison de la baisse de la capacité d’emprunt des acheteurs en lien avec la remontée des taux de crédit, 71 % des directeurs d’agence constatent une hausse des marges de négociations des prix de vente. « Globalement nos consultants immobiliers constatent désormais des marges de négociations comprises entre 3 et 7 % selon les régions et les biens, avec la difficulté pour les vendeurs de céder et des acheteurs qui ne sont souvent pas prêts à remonter leur offre, renoncent et se tournent alors vers d’autres biens… Pour les biens qui nécessitent beaucoup de travaux, les marges de négociation constatées sont souvent de 10 à 15 % du prix, en raison de la hausse du coût des matériaux, mais cela dépend encore une fois du bien ! », explique Cyril Parmentier.

… et une baisse des prix

68 % des agences immobilières s’attendent à une baisse des prix, quand 30 % pensent que les prix vont stagner pour ce premier trimestre 2023. A contrario, seules 2 % pensent que les prix peuvent encore augmenter. Concernant les baisses attendues, les agences prévoient des baisses de 5 % rien que sur le premier trimestre 2023, puis 10 % sur le reste de l’année avec des écarts selon les biens et les régions… A noter que des biens « cœur de cible », tels que des maisons de qualité sans trop de travaux et à moins de 500 000 euros, ne devraient quant à eux ne pas subir de baisse car l’offre reste limitée et la demande forte. Autre constat des agences du réseau : 26 % d’entre elles ont enregistré une hausse des mises en vente des biens F ou G en fin d’année. La conséquence depuis janvier 2023 de l’interdiction de louer les biens les plus énergivores, à moins d’effectuer d’importants travaux de rénovation énergétique.

Un marché ralenti mais toujours dynamique en 2023

Si pour 75 % des agences sociétaires, le marché connaît actuellement un ralentissement, près de 20 % d’entre elles pensent que le marché devrait rester dynamique en ce premier trimestre 2023. Seules 9 % prévoient ainsi un coup d’arrêt. « Le marché immobilier est actuellement impacté par l’attentisme et les conditions de crédit mais il reste soutenu par les transactions incompressibles ou transactions contraintes et les achats ‘cash’, sans crédit, qui sont dans certaines régions plus nombreux qu’on le pense, notamment bien sûr au sein d’une classe d’âge plus élevée », conclut Brice Cardi.

 

Source : https://www.journaldelagence.com/1294026-bilan-2022-et-perspectives-2023-du-marche-immobilier-une-baisse-des-prix-confirmee

«Pause dans la hausse des prix de l’immobilier ancien», Michel Mouillart

Sur un marché de l’ancien confronté à un recul rapide de son activité, les prix des logements ont marqué le pas durant le 3ème trimestre. Après plusieurs mois d’une progression soutenue, le rythme de leur progression a ralenti, comme cela est habituel durant l’été. D’autant que la demande bute, plus encore que par le passé, sur le resserrement de l’offre bancaire et le renchérissement du coût du crédit.

En septembre, sur un marché des maisons toujours très déséquilibré, les prix signés ont doucement reculé, de 0.5 % au cours des 3 derniers mois. Une telle évolution est fréquente, à cette période de l’année : surtout après plus de 6 mois durant lesquels la hausse des prix avait été rapide. Dans le même temps, les prix des appartements ont légèrement progressé, de 0.3 %, après une augmentation soutenue pendant plusieurs mois.

Néanmoins, la hausse a été suffisamment rapide au cours des douze mois écoulés pour qu’en septembre, le niveau des prix signés s’établisse à 6.1 % de plus qu’il y a un an : 8.3 % de plus pour les maisons et 4.6 % de plus pour les appartements. Car la transformation du marché se poursuit : une partie de la demande pénalisée par les exigences d’un apport personnel plus élevé se déplace vers les zones où les prix sont plus accessibles, y renforçant les tendances haussières préexistantes ; alors que la concurrence entre les acquéreurs les mieux dotés en apport personnel s’accentue sur les zones les plus convoitées, dans le contexte d’une raréfaction de l’offre.

Une augmentation rapide des prix du neuf

Le recul de la demande de logements neufs a été rapide durant l’été. Avec l’augmentation des taux d’intérêt et une contraction de l’offre de crédits comparable à celle de l’automne 2008, au plus profond de la crise financière internationale, la réalisation des achats envisagés par les particuliers est devenue très difficile. Alors qu’un nombre croissant de candidats à un achat confrontés à une hausse rapide et rarement observée des coûts de construction, voire parfois à l’abandon des chantiers en raison de la dégradation de l’appareil de production ont été contraints à l’abandon de leur projet.

Pourtant la hausse des prix des logements neufs s’est poursuivie, après s’être renforcée dès la fin du printemps. Elle a même été rapide sur le marché des maisons, de 3.0 % au 3ème trimestre : après une augmentation soutenue depuis le printemps, le niveau des prix constaté en septembre s’est établi à 13.0 % de plus qu’il y a un an. Après une année de forte progression, les prix des appartements neufs progressent toujours assez rapidement, de 2.4 % au 3ème trimestre, comme au début de l’été : ils s’affichent alors à 6.6 % au-dessus de leur niveau de septembre 2021.

Affaiblissement des prix dans certaines grandes villes

Fréquemment, durant l’été, la hausse des prix des appartements anciens s’affaiblit dans les grandes villes. Cette année, le ralentissement a été amplifié par une chute exceptionnelle de l’offre de crédits bancaires et par la persistance d’un blocage du marché de la revente qui dégrade la fluidité du marché depuis l’automne 2021.

Ainsi, les prix ont reculé durant le 3ème trimestre (en glissement trimestriel) dans 35.0 % des villes de plus de 100 000 habitants : Bordeaux, Lille, Lyon, Nantes, Paris ou Toulouse, par exemple. En général, dans ces villes, la hausse des prix ralentit donc sur un an, en glissement annuel. Néanmoins, la baisse saisonnière des prix est souvent simplement associée à une stabilisation de la hausse sur un an (et parfois à haut niveau) : à Bordeaux, Lyon, Nancy ou Toulouse, par exemple ; et elle peut ne pas entraver une remontée rapide sur un an, comme à Rennes. Mais dans tous les cas, les villes concernées par ce recul estival sont parmi les plus chères : soit au niveau national, soit sur leur territoire.

 

Mais les mois d’été ont aussi été synonymes d’accélération de la hausse des prix : comme à Annecy ou à Nice qui comptent parmi les plus chères, mais qui bénéficient toujours de l’arrivée de nouveaux acquéreurs aisés. Ou encore Besançon, Clermont-Ferrand, Le Havre ou Limoges où le rythme d’augmentation s’élève encore.

Au total, la hausse des prix est ainsi de 10 % et plus sur un an dans 18.5 % des villes de plus de 50 000 habitants : dans les ¾ des cas, ce sont des villes moyennes ou à 2 500 €/m² au plus. Et l’augmentation reste au moins égale à l’inflation dans 45.2 % des villes grandes ou moyennes. Alors que la baisse des prix n’est observée que dans 7.3 % de ces villes : soit en raison de prix particulièrement élevés (Levallois-Perret ou Neuilly sur Seine) ou au contraire très faibles (Calais ou Tourcoing), sur des marchés locaux (très) déprimés.

Recul rapide des ventes durant l’été

Le nombre de logements anciens acquis par des particuliers dépend largement du nombre des prêts immobiliers accordés qui financent 89 % de ces transactions. La chute de la production de crédits, particulièrement marquée durant l’été, a donc entraîné avec elle le marché de l’ancien.

Après le décrochage du 1er trimestre 2022 et en dépit de la pression de la demande observée sur de nombreux territoires, l’éclaircie constatée au 2ème trimestre sur les achats n’avait pas été suffisante pour inverser la tendance récessive du marché. Le nombre de compromis signés sur le 1er semestre était ainsi en recul de 7.4 % à fin juin en glissement annuel (de 18.6 % par rapport au 1er semestre 2019). La chute du marché de l’ancien durant les mois d’août et de septembre (-19.4 % en glissement annuel) a alors aggravé le recul de l’activité mesurée sur les 9 premiers mois de l’année : -11.5 % en glissement annuel.

En réponse à une dégradation exceptionnelle de l’environnement du marché (durcissement des conditions d’octroi des prêts, hausse des taux, pertes de pouvoir d’achat, …), les achats de logements anciens réalisés par des particuliers vont donc diminuer de 10.0 % (au minimum), pour se stabiliser à partir de 2023. Mais comme les déséquilibres économiques, social et financier risquent encore de se renforcer, la récession du marché de l’ancien sera probablement plus forte qu’escompté.

 

Nouvelle augmentation des marges en septembre

La progression des marges se poursuit sur un marché de l’ancien dont l’activité recule, sans véritables perspectives d’un prochain redémarrage. En septembre 2022, elles s’établissaient à 5.5 % pour l’ensemble du marché, en progression de 43 % sur un an. La dégradation du marché étant générale, les marges des maisons et des appartements s’élèvent au même rythme que l’ensemble du marché.

La demande qui ne bénéficie pas forcément de cette évolution en est en fait pénalisée. Car les candidats à un achat doivent négocier plus qu’auparavant pour parvenir à un prix leur permettant de présenter un plan de financement acceptable par la banque, alors que les vendeurs, plus contraints que par le passé au recours à un crédit relai, doivent de plus en plus souvent accepter de réduire les prix demandés pour finaliser les transactions. Mais ces révisions de prix ne sont toujours pas synonymes de baisse des prix de l’ancien : les ambitions des nouveaux vendeurs restent intactes sur un marché de pénurie et les prix progressent toujours. Les prix affichés en septembre étaient d’ailleurs de 6.0 % au-dessus de leur niveau d’il y a un an.

Ainsi, les marges se sont nettement élevées dans toutes les régions, même dans celles où l’activité a pu, récemment, mieux résister qu’ailleurs.

Un recul des ventes plus rapide dans toutes les régions

Les achats de logements anciens par des particuliers ont reculé rapidement pendant l’été. Et pour les 9 premiers mois de l’année, la baisse a été de 11.5 %, en glissement annuel. La situation du marché s’est d’ailleurs partout détériorée, dans un environnement économique et financier qui s’est encore dégradé.

Pourtant, dans deux régions (Ile de France et Midi-Pyrénées), l’activité réussit encore à légèrement progresser, de 1 à 2 % sur un an. Alors que dans d’autres régions, l’activité n’a reculé que de 8 % : en Alsace, en Auvergne, en Lorraine, dans le Languedoc-Roussillon, dans le Limousin, dans le Nord-Pas de Calais et en PACA.

En revanche, les achats ont diminué de plus de 20 % sur un an, dans des régions où les difficultés de mobilisation de l’apport personnel ont été plus prononcées qu’ailleurs, lorsque l’offre bancaire s’est heurtée à une profitabilité des nouveaux prêts particulièrement faible ou lorsque le marché des résidences secondaires (par exemple) est grippé : en Basse-Normandie, en Bourgogne, en Champagne-Ardenne, en Franche Comté et en Haute Normandie.

Ailleurs, le niveau des ventes a diminué de l’ordre de 15 % sur un an.régi

Des évolutions de prix contenues par la rareté des financements bancaires

Bien que moins rapide qu’au début de l’année, l’augmentation des prix des appartements se poursuit dans l’ensemble des métropoles. La hausse est la plus rapide sur les métropoles d’Aix-Marseille, Brest et Lille (au moins + 7.5 % sur un an) où le déséquilibre entre l’offre et la demande perdure et se renforce avec l’arrivée de nouvelles clientèles, notamment des investisseurs et des mutations professionnelles à la recherche d’opportunités : les prix progressent alors assez vivement sur la ville-centre. Bien que moins rapide, elle est soutenue (de l’ordre de 6 %) sur les métropoles de Nancy, Paris ou Rennes : sur les métropoles de Nancy et de Rennes, les augmentations sont les plus rapides dans les villes-centre, les communes périphériques ne bénéficiant plus aussi fortement qu’auparavant du déplacement de la demande, compte tenu des niveaux de prix pratiqués. Elles expriment aussi la rareté des biens disponibles dans le centre des métropoles dont l’attractivité territoriale n’a fait que se renforcer au fil des années. Elle est en revanche la plus faible (moins de 2 %) sur les métropoles de Bordeaux, Nantes et Toulouse où en dépit de la situation de pénurie née d’une insuffisance de l’offre, les niveaux de prix ont écarté les candidats à l’achat pénalisés par le resserrement de l’accès au crédit.

En revanche, en dépit du rebond des prix des maisons constaté depuis l’été 2021, la progression des prix reste contenue dans la plupart des métropoles mesurée. Les prix continuant même à légèrement baisser dans plusieurs métropoles (Bordeaux, Lyon, Marseille, Paris et Rennes). L’attrait de la maison individuelle n’y est plus aussi fort qu’auparavant : la demande solvable capable d’acquérir les biens proposés s’est progressivement épuisée, avec des niveaux de prix dissuasifs, surtout dans un paysage où les financements bancaires espérés sont devenus plus difficiles à obtenir ; sur la plupart de ces espaces métropolitains, les prix reculent d’ailleurs plus rapidement dans les villes-centre où leur niveau est devenu rédhibitoire pour une grande partie des candidats à l’achat.

Sur tous les espaces métropolitains, pourtant caractérisés par la pénurie de biens à acquérir, la demande solvable capable d’acquérir ces logements a fondu avec la raréfaction des financements bancaires et les apports personnels exigés.

 

Source : https://www.journaldelagence.com/1272784-barometre-lpi-seloger-octobre-2022-pause-dans-la-hausse-des-prix-de-lancien-michel-mouillart

Crédit immobilier : bonne nouvelle pour les candidats à l’achat à partir du 1er octobre

Les demandes de crédits immobiliers présentées en octobre devraient avoir plus de chances de passer avec la révision du taux d’usure. Une bouffée d’air qui risque néanmoins d’être éphémère selon les courtiers.

Un ennemi donne actuellement des sueurs froides à tous ceux qui souhaitent acheter un bien immobilier : le taux d’usure. Aujourd’hui fixé à 2,57 % sur vingt ans et plus, le taux maximal auquel une banque peut prêter est jugé trop bas et rend impossible l’octroi d’un crédit immobilier à nombre de candidats. Ainsi, des courtiers s’étaient rassemblés, mardi 20 septembre, devant la Banque de France pour manifester leur mécontentement, relate Le Parisien. Ils estiment que ce taux d’usure n’augmente pas assez vite contrairement aux autres taux.

Après avoir reçu une délégation de courtiers mardi, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a annoncé que le taux d’usure serait relevé au 1er octobre. “Compte tenu des données collectées auprès des banques, le taux de l’usure sera ainsi normalement relevé le 1er octobre, de façon bien proportionnée et plus marquée qu’en juin dernier, en accord avec le ministre de l’Économie et des Finances. Ceci permettra, dans le respect de la loi, de régler les certaines situations plus difficiles d’accès au crédit relevées ces dernières semaines”, peut-on lire dans le communiqué de la Banque de France. Il devrait donc s’approcher des 3 %.

Insuffisant pour les courtiers. “Ça ne résoudra le problème que pour quinze jours ou trois semaines vu la vitesse de remontée des taux”, pointe l’un d’eux, interrogé par nos confrères du Parisien. En attendant, le 1er octobre, certains ont décidé de bloquer les dossiers pour les représenter le mois prochain. “Aujourd’hui, environ 50 % des dossiers ne passent pas”, estime Élisabeth Wargniez, de la Centrale du financement, à Paris (IXe). Les dossiers les plus problématiques : les clients les plus âgés et ceux qui ont le moins d’apport.

Un discours qui diverge de celui de Pierre Chapon, cofondateur du courtier en ligne Pretto, qui estime le taux de refus lié au taux d’usure à 11 %. “Grossir le trait sur le taux de refus n’aide pas à atteindre notre objectif commun, qui est celui de la révision de la formule de calcul de ce taux d’intérêt maximal auquel une banque peut prêter.”

 

Source : https://www.capital.fr/immobilier/credit-immobilier-bonne-nouvelle-pour-les-candidats-a-lachat-a-partir-du-1er-octobre-1446826

La mi-septembre est une période stratégique pour investir dans l’immobilier

Le pouvoir d’achat des Français est en berne. L’investissement locatif se présente comme une solution envisageable pour améliorer son pouvoir d’achat. Bevouac, site spécialisé dans l’investissement locatif dans l’ancien, a repéré les périodes où cet investissement est le plus rentable.

Avant de vous lancer, sachez qu’il vaut mieux éviter la période allant de mi-mars à mi-avril, la tension immobilière étant à son comble à cette époque. Les prix augmentent au printemps, ce qui est peu avantageux. «Les familles qui souhaitent signer leur acte de vente en juin et juillet, pour emménager durant l’été et être prêts pour la rentrée scolaire, se précipitent sur leur projet immobilier durant ce printemps de l’immobilier (NDLR L’acte de vente définitif étant signé en moyenne 3 mois après un accord sur le prix entre l’acheteur et le vendeur). Durant cette période, où le marché est tendu, il est donc peu recommandé de réaliser un investissement immobilier», commente Martin Menez, président de Bevouac.

En décembre, certes les prix au m² baissent mais le nombre de ventes explose, ce qui n’est pas idéal pour se faire une place et choisir le bien souhaité. Les personnes qui se lancent dans une recherche de bien en septembre (pour une signature de l’acte de vente définitif en décembre), sont moins nombreuses pourtant en raison de «la reprise du travail, de la rentrée des enfants qui les préoccupent» mais en décembre, le nombre d’actes notariés répertorié est conséquent. «Cela peut s’expliquer par la volonté, pour les vendeurs, d’éviter les impôts locaux et, pour les investisseurs, de défiscaliser sur l’année en cours», ajoute Martin Menez.

Janvier, mai et septembre, des périodes idéales

À l’inverse, mi-janvier, mi-mai et mi-septembre, la tension du marché se relâche et les prix sont plus accessibles. «C’est durant ces mois qu’il est possible d’optimiser son investissement. En effet, avec un prix à l’achat plus faible, le rendement locatif brut se voit boosté!», assure Martin Menez. Au mois de mai, la tension du marché est moindre alors «qu’on aurait pu se dire que c’est le mois où les ménages anticipent la rentrée mais visiblement ils l’ont anticipée avant en se ruant sur le marché en février, mars et avril», s’étonne-t-il. Est-ce l’effet pont, les Français ayant alors la tête aux vacances plutôt qu’aux affaires?

Mais quelle date privilégier parmi ces 3 périodes? Janvier reste le mois le plus intéressant, avec des prix au m² au plus bas: 1625 € en moyenne, lissé sur les 5 dernières années. De plus, «un investissement locatif nécessite souvent plus de travaux ainsi qu’une configuration différente», affirme Martin Menez. Investir mi-janvier permet d’avoir terminé les travaux et d’être fin prêt à mettre en location son bien à la rentrée de septembre.

 

Source : https://immobilier.lefigaro.fr/article/la-mi-septembre-est-une-periode-strategique-pour-investir-dans-la-pierre_38f84f1a-2457-11ed-8c87-3773a1c1bbba/

Offre LAST MINUTE !

🏝🌞 PROMO LAST MINUTE !! 🌞 🏡

-10% sur le prix de votre séjour en réservant pour une arrivée le 30 juillet 2022 ou le 20 août 2022 🌊 🐚

Rendez-vous sur notre site www.agencedusoleil.com ou donnez le code « SOLEIL10 » à votre agent de location dans l’une de nos 7 agences du littoral : Narbonne-Plage, Gruissan, Leucate, Barcarès, Canet, St Cyprien.

Contactez notre Agence de Leucate au 04 68 40 93 93 ou par email à loc.bousquet@agencedusoleil.com.

Contactez notre Agence de St Cyprien au 04 68 37 04 33 ou par email à loc.glenadel@agencedusoleil.com.

Contactez notre Agence de Narbonne-Plage au 04 68 49 86 88 ou par email à loc.lubrano@agencedusoleil.com.

Contactez notre Agence de Port-la-nouvelle au 04 68 48 01 34 ou par email à loc.bergon@agencedusoleil.com.

Contactez notre Agence du Barcarès au 04 68 86 26 26 ou par email à loc.chaumont@agencedusoleil.com. Bonjour,

Contactez notre Agence de Gruissan au 04 68 49 01 57 ou par email à loc.dussart@agencedusoleil.com.

Contactez notre Agence de Canet-en-Roussillon au 04 68 80 37 43ou par email à loc.pahin@agencedusoleil.com.